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Ces taxes foncières qui coûtent le plus cher aux propriétaires

En 2021, le logement a rapporté plus de 90 milliards d’euros à l’État et aux collectivités locales pour seulement 38 milliards. Record de vente positif !

Le sujet fiscal qui est désormais sur toutes les lèvres est celui des propriétaires immobiliers.

La promulgation de la taxe foncière fait grincer des dents. Bercy avait bien l’intention de la coiffer avant de finalement faire machine arrière, sous l’impulsion des collectivités. A la tête de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi), il demande au gouvernement de revoir sa position. Les propriétaires ont une perception très négative de votre comportement. Il est impératif que vous découvriez un moyen d’empêcher une certaine (sur)explosion en 2023. Les investisseurs se réjouissent », a déclaré Christophe Demerson, président de l’Unpi, dans une lettre obtenue par Le Figaro. L’entourage de Bruno Le Maire rétorque, « Qu ‘ils aillent voir leurs élus locaux !’, en réponse aux propriétaires mécontents. Les collectivités choisissent elles-mêmes les taux d’imposition.

Par ailleurs, la taxe foncière, dont se sont acquittés 32 millions de cotisants, représente une sacrée aubaine pour l’Etat et les collectivités.

En fait, c’est la taxe foncière qui a le plus d’impact sur les budgets publics. En 2021, plus de 24 milliards d’euros ont été avancés grâce à lui, selon le dernier rapport sur la comptabilité du logement. Le prochain groupe à remplir les caisses de l’État à plus de 16 milliards d’euros sont les droits de mutation à titre illicite (DMTO) , parfois appelés, par erreur, « frais de notaire ». C’est 8 milliards de moins.

Prêtés mais certains, les droits de modification grignotent leur retard : En 2021, ils sont majorés de plus de 25% contre « seulement » +2% pour l’impôt sur le revenu du fait d’un nombre record de transactions (près de 1,2 million) et des prix constamment élevés. Avant 2022, le scénario restera le même. Cependant, probablement pas en 2023. Selon le rapport du Congressional Budget Office, l’impôt fédéral sur le revenu devrait continuer à augmenter de 6 à 7 %. En revanche, moins de ventes immobilières sont prévues en 2023. Et donc, des droits mutationnels également. De quoi inquiéter les collectivités locales et Bruno Le Maire, qui reste « très attentif » à la disponibilité du crédit, moteur régulier du marché immobilier. Avec 13,2 milliards d’euros de recettes, la TVA complète le top trois des taxes foncières les plus pénalisantes sur les budgets publics. Dans la rubrique, il est révélé que la taxe d’habitation, qu’Anne Hidalgo veut voir multipliée par « au moins 4 », n’a versé qu’un montant familial de 115 millions d’euros aux caisses publiques en 2021.

Le logement a généré plus de 90 milliards d’euros au total pour l’État et les collectivités locales

(après soustraction de la taxe d’habitation, qui est comptabilisée comme un impôt national sur le revenu et sera totalement supprimée en 2023). Christophe Demerson affirme qu’un nouveau dossier confirme le « matraquage fiscal » contre les propriétaires. De plus, il démontre à ses détracteurs que le loyer est plus qu’un simple coût. La preuve numérique est que lorsque les impôts augmentent, l’aide diminue de près de 38 milliards d’euros. C’est donc une vente positive massive de 52 milliards d’euros !

Doit-il résilier son crédit immobilier en période d’inflation ?

Résilier son crédit

Quand on a des liquidités, on peut essayer de vouloir se séparer de son crédit immobilier. Mais en période d’inflation, le conserver pourrait être plus avantageux.
Même dans un environnement économique difficile, des rendements monétaires importants sont toujours possibles à l’appui d’une prime, d’une vente immobilière ou d’un héritage. Dans une telle circonstance, la première réaction pourrait être de vouloir régler des dettes, le crédit immobilier venant en tête. Cependant, certains analystes interrogés par Les Échos affirment que ce n’est pas nécessairement la meilleure ligne de conduite en période de forte inflation. En théorie, un remboursement par anticipation est une bonne idée car cela fait baisser le coût global du crédit.
Surtout si l’emprunteur a réussi à négocier la suppression de l’indemnité de remboursement anticipée. Cela me permet d’épargner cette somme.

Crédit de protection immobilière

Cependant, de nombreuses lignes de crédit actives ont bénéficié des taux d’intérêt exceptionnellement bas de ces dernières années. On note qu’il ne faut jamais ignorer l’impact du resserrement du crédit dans des circonstances où les taux d’intérêt sont toujours compétitifs, même s’ils augmentent. De plus, il permet une expulsion « forcée » et la création d’un futur patrimoine immobilier. De plus, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de mensualité sont utilisées pour rembourser le capital plutôt que les intérêts solde dû.

Crédit immo : sera-t-il plus facile d’emprunter après le 1er octobre prochain ?

Le taux d’usure

Le taux d’intérêt maximum auquel les banques prêteront sera mis à jour le 1er octobre, malgré le fait que de nombreuses demandes de crédit immobilier sont rejetées à cause de ce taux. Et certains rapports mentionnent un écart important.
Les prêteurs hypothécaires s’organisent pour faire pression sur la Banque de France. L’un des principaux syndicats professionnels, le Syndicat des intermédiaires de crédit, demande une manifestation ce mardi matin prochain devant l’établissement.
Objectif : persuader la Banque de France, qui doit effectuer un paiement en moins de deux semaines, de relever suffisamment le taux d’intérêt pour permettre le déblocage de plusieurs demandes de crédit en attente. Et sur la base de nos conclusions, il est possible que les avocats, les banquiers, les notaires et les professionnels de l’immobilier reçoivent finalement une agréable surprise.

Une chose est sûre : le 1er octobre, tous les acteurs de l’immobilier recevront un coup d’oxygène. Mais il y a quelques jours à peine, des professionnels du secteur, notamment des avocats, exprimaient des doutes sur une augmentation significative du taux de chômage. Par ailleurs, la Banque de France a déclaré qu’elle ne modifierait pas sa méthode de calcul. Quelle que soit la situation, tout le monde anticipe la baisse du taux d’intérêt que décidera la Banque de France. Ce taux maximum auquel les banques sont autorisées à prêter n’augmente pas aussi rapidement que les taux du marché, ce qui pousse de nombreux ménages à faire défaut sur leur dette.

3% ou moins ?

Ce taux d’assurance, qui tient compte du taux d’emprunt ainsi que des frais d’assurance et de dossier, a été plafonné à 2,57 % au cours des trois derniers mois pour les prêts hypothécaires d’une durée de 20 ans ou plus. Il devrait cependant augmenter significativement le mois prochain. La Banque de France s’étant dite satisfaite de la formule mathématique, il semblerait que cette formule puisse être modifiée en tenant compte de statistiques plus récentes ou plus anciennes. Pour rappel, le taux d’utilisation est déterminé chaque trimestre à partir des taux d’effectifs médians constatés au cours du trimestre écoulé, majorés d’un tiers. Il pourrait y avoir une baisse du marché en cas de forte hausse des taux, comme c’est le cas depuis plusieurs mois.

Selon une source fiable et proche de l’institution, le prochain taux de chômage pourrait atteindre 3 %. Une autre source fiable confirme qu’une hausse allant jusqu’à 45 points de base (0,45 point de pourcentage) est attendue. Ce qui nous amènerait alors à 3,02 %. Nous dépasserions donc ce seuil symbolique de 3 %. C’est bien mieux que ce que les professionnels de l’immobilier actuels avaient prévu.

Selon un avocat, à un tel niveau, il n’y aurait essentiellement pas de refus de prêt fondés sur le risque de crédit étant donné les taux que les banques pratiquent déjà. En tout cas, au début. En raison des politiques des banques centrales et de la persistance de l’inflation, les banques vont inévitablement continuer à croître.

L’évolution des prix de l’immobilier au cours des dix dernières années

Vous voulez savoir comment l’immobilier a changé au cours des dernières années. Quelles étaient les villes les plus fréquentées et celles avec les lignes de peloton les plus longues ? Nous discutons avec vous du marché immobilier depuis 2010.

L’évolution des prix en France au cours des dix dernières années

Selon l’Insee, le prix des logements a augmenté de 22 % en France au cours des dix dernières années. Cette augmentation touche tous les quartiers de la métropole et tous les types de logements (maisons et appartements, logements neufs et immobilier ancien).

Cette augmentation au cours des dix dernières années n’est pas linéaire. En effet, le marché immobilier a connu un repli après 2011 avant de renouer avec la croissance. Depuis, la croissance ne s’est pas arrêtée.

Le marché immobilier n’a jamais été aussi dynamique. L’année dernière, il y a eu plus d’un million d’achats, battant le précédent record du nombre de transactions. Malgré le fait que certaines villes et régions se démarquent, les prix augmentent généralement.

Les villes phares en progrès

(Nos chiffres sont tirés de la note de conjonction des notaires français.)

Paris
Le prix au pied carré des appartements dans la capitale française a augmenté de 56% au cours des dix dernières années. Le prix moyen parisien du mètre carré a même dépassé les 10 000 euros. Jamais vu avant!

Bordeaux
Les plus belles progressions de ces dix dernières années ont été menées par la capitale mondiale du vin. En effet, le prix des appartements a augmenté de 73,97 %, passant de 2 489 $ le mètre carré en 2010 à 4 330 $ en 2015.

Lyon
Le prix du mètre carré dans la capitale des Gaules augmente de 67,03 % en moyenne au bout de dix ans, passant de 2 752 euros à 4 600 euros.

Rennes
Pour trouver la quatrième ville la plus dynamique, il faut se rendre en Bretagne. Rennes connaît en effet une augmentation de 48,38% entre 2010 et 2020.

Nantes
La ville des Ducs de Bretagne, Nantes, n’est pas trop loin de Rennes. Avec une hausse de 44,90%, elle prend la cinquième place.

Strasbourg
Le prix du strasbourgeois a sensiblement augmenté de 40 % passant de 2 100 euros le mètre carré en 2010 à 2 940 euros aujourd’hui.

Les villes les moins dynamiques

La même implication des prix n’a pas été constatée sur l’ensemble du territoire français. Certaines villes ont même connu un recul par rapport à 2010.

Saint Etienne est dans la file d’attente du classement après avoir connu une baisse de prix de près de 25 %. Toulon suit la liste avec une baisse d’environ 6% entre 2010 et 2015. Les prix de ces deux villes sont les mêmes depuis cinq ans.

D’autres villes sont au même stade qu’en 2010. Dijon, Grenoble, Metz, Orléans en sont des exemples.

Enfin, Limoges et Caen ont connu une sévère récession en 2015 mais ont su inverser la tendance au cours des cinq dernières années. Cela leur permet de sortir de la crise avec une modeste augmentation comprise entre 2% et 5%.

La fluctuation des prix sur le marché local

Concernant le marché local, la rentabilité a fortement baissé. En fait, le coût du mètre carré a augmenté bien plus vite que les salaires. A Bordeaux, par exemple, les prix de l’immobilier ont augmenté de 70% alors que les salaires mensuels n’ont augmenté que de 6%.

Les trois plus grandes villes françaises, Montpellier, Lyon et Marseille, sont classées premières, avec des taux de croissance des salaires de 6,72 %, 6,31 % et 5,13 %, respectivement.

En conséquence, le marché immobilier s’est globalement développé au cours des dix dernières années, même si de nombreuses inégalités sont encore à noter dans le monde francophone.

Où investir en France ?

D’une manière générale, investir dans l’immobilier local est avantageux. Cependant, il y a des risques encourus : des vacances locales, un loyer impayé et un problème avec le retour. Comment puis-je augmenter ma rentabilité locative ? La ville dois-je choisir ?

Paris

Même si les prix du marché ont moins augmenté ces derniers temps qu’ailleurs en France, investir à Paris reste une valeur sûre.

En effet, la demande de services de proximité est forte et le taux de rentabilité local moyen est de 5,2 %. Le risque de ne pas être payé est d’environ 1,3 %, ce qui est comparable à la moyenne française.

Considérez la banlieue française, est notre conseil. Avec ses 200 kilomètres de réseau et ses 68 nouvelles gares, le projet du Grand Paris permettra aux villes moyennes de se désenclaver.

Bordeaux

Bordeaux est l’une des villes françaises avec les plus beaux incendies immobiliers. Par conséquent, investir à Bordeaux nécessite un minimum d’argent. Cependant, des salaires plus élevés permettent une meilleure rentabilité locale, de 6,6 % en moyenne.

Il y a une forte demande de logements là-bas, ce qui réduit la probabilité de vacances mal placées.

Notre recommandation est de penser à investir dans les quartiers étudiants ou dans de nouveaux programmes qui offrent des avantages pour l’évolutivité.

Grenoble

Grenoble est une ville très attractive pour l’investissement immobilier en raison de ses prix abordables, de sa population étudiante dynamique et de son économie robuste. Puisqu’il dépasse les 7,2%, son taux de rentabilité est bon.

Cependant, le risque de vacances locales est supérieur au risque national moyen.

Notre recommandation est de faire des investissements dans des propriétés meublées à proximité des institutions académiques.

Lille Lille est une ville étudiante dynamique au cœur de l’Europe. Le besoin d’hébergement y est assez grand.

Cependant, la hausse des coûts d’achat au cours des dernières années a réduit la rentabilité brute.

Notre recommandation est de vérifier les quartiers proches des gares Lille Europe et Lille Flandres, qui sont proches du centre-ville et offrent une variété d’options de transport.

Lyon

La ville de Lyon a beaucoup d’atouts, notamment une importante population étudiante, la proximité de Paris, de l’Italie et de la Suisse, et un environnement économique florissant.

Lyon est un havre immobilier précieux malgré un taux de rentabilité local modeste (3,3%).

Notre conseil est de vous renseigner sur les prix de l’immobilier dans les environs, notamment à Villeurbanne.

Marseille

Le marché marseillais a des prix très raisonnables, permettant une bonne rentabilité d’environ 6,6%. Le risque de ne pas être payé est un peu plus élevé que la moyenne nationale.

Notre conseil est d’étudier chaque quartier marseillais comme un marché distinct.

Montpellier

Montpellier s’annonce comme l’un des meilleurs investissements locaux. En effet, le prix d’achat moyen au mètre carré est inférieur à 3 000 €. De nombreuses entreprises en démarrage et des étudiants sont attirés par la ville. Il y a 18 parcs d’activités, y compris de grandes entreprises comme IBM et Sanofi.

Après la crise sanitaire, Nantes est devenue l’une des villes les plus désirables. De ce fait, les prix ont sensiblement augmenté, mais la rentabilité est toujours favorable (environ 6%).

Notre recommandation est de rechercher le bâtiment du futur CHU sur l’île de Nantes, qui peut présenter de belles opportunités de relocalisation.

Rennes

Les prix du marché de Rennes ont considérablement augmenté, mais la ville présente toujours d’excellentes opportunités d’investissement en raison de son taux de vacance local extrêmement bas.

Étudier les quartiers étudiants comme Beaulieu et Villejean-Beauregard, c’est notre conseil.

Combien de temps pour vendre un bien immobilier ?

59 jours en moyenne pour un propriétaire français pour vendre son logement

Le délai moyen de vente d’un logement dans 50 grandes villes françaises a été compilé par les experts en évaluation immobilière de MeilleursAgents. Ces statistiques peuvent aider la population à comprendre à quoi s’attendre lors de la vente de sa maison et si la demande augmente ou diminue. Les données excluent la banlieue parisienne, que les agents ont examinée séparément.

MeilleursAgents s’est penché sur la longévité de milliers d’annonces immobilières sur le site SeLoger. Ils ont estimé le délai moyen de vente pour 50 communes françaises à environ 59 jours en septembre 2022 sur la base de ces données. Bien que ce nombre ait été très constant au cours des deux dernières années, il a révélé des différences importantes entre les différentes villes.

Le retour des acquéreurs étrangers suite à la crise sanitaire a récemment dynamisé le marché immobilier parisien. De nombreuses annonces immobilières ont été mises en ligne ces derniers mois, mais la demande est encore insuffisante pour profiter de l’offre. Conséquence, les délais de vente dans la ville se sont allongés : il faut désormais en moyenne 59 jours pour vendre un appartement à Paris. C’est juste un peu plus long que les 57 jours en 2019, les 47 jours en 2020 et les 57 jours en 2021.

En termes de population, Marseille occupe la deuxième place en France. Les retards dans la vente de biens immobiliers ont considérablement diminué dans toute la ville. En 2020, il fallait en moyenne 73 jours pour vendre un bien français. De nos jours, il ne faut en moyenne que 62 jours, soit environ une semaine en ville, pour vendre un objet.

Certaines villes sont plus belles que d’autres

Au cours des deux dernières années, des villes moyennes comme Antibes, Pau et Perpignan ont connu une augmentation du tourisme grâce en partie à des prix plus bas que dans les grandes villes. Cela s’est traduit par une diminution de la durée du processus de vente, qui a été ramené à 28 jours en moyenne à Perpignan, Pau et Antibes.

Au cours des deux dernières années, la demande immobilière a diminué à Nantes, Toulouse et Lyon, trois villes de France. Ces municipalités où les prix des marchandises sont élevés ont connu une baisse de la demande. En conséquence, la durée des périodes de soldes s’est considérablement allongée dans ces villes. C’est parce que les acheteurs ont du mal à trouver les marchandises. En conséquence, on s’attend à ce que les prix dans ces villes se stabilisent bientôt.

Quelles sont les différences entre les taux d’intérêt fixes et variables ?

Taux fixe et taux variable, quelles différences ?

Aujourd’hui, la grande majorité des prêts immobiliers accordés sont décrits comme ayant des taux d’intérêt fixes. Cela signifie que, qu’il s’agisse d’un crédit immobilier sur 10 ans ou sur 25 ans, le taux communiqué au moment de la signature du prêt restera le même pendant toute la durée de remboursement, quelles que soient les évolutions du marché pouvant entraîner une baisse des taux ou augmenter. offrant ainsi une certaine sécurité aux emprunteurs qui peuvent alors anticiper. De plus, le forfait permet de mieux évaluer les nombreux TAEG proposés au moment de la recherche de financement pour prendre la meilleure décision.

Les taux d’intérêt variables représentaient encore 20 % de la génération de crédit en 2005 et jusqu’à 6 % en 2010. Comme son nom l’indique, le taux d’intérêt variable ou révisable fluctue au cours du crédit. Cette évolution correspond à l’évolution de l’indice de référence choisi au moment de la signature du contrat de crédit, qu’elle soit à la hausse ou à la baisse. Le terme le plus souvent utilisé est Euribor. En plus de l’index, la fréquence des révisions est également choisie au moment de la souscription.

Variables : un avantage en cas de hausse des taux

Certains experts, dont des avocats, prétendent que les banques, notamment les caisses régionales, offrent maintenant des prêts immobiliers à taux d’intérêt fluctuant. D’autres y réfléchissent.
Il faut dire que les crédits à taux variable peuvent permettre à certains emprunteurs d’accéder à un financement grâce à un taux généralement inférieur au taux fixe, une période de taux élevé ou à la hausse. De plus, il vous permet de définir les limites fixées par le taux d’usure. N’oubliez pas que celui-ci est actuellement fixé à 2,50 % pour les hypothèques à taux fixe les plus populaires d’une durée de 20 ans ou plus. Etant donné que le calcul tient compte du taux d’intérêt nominal, de l’assurance emprunteur et des frais de dossier, le résultat est vite atteint. Par ailleurs, les taux fluctuent actuellement fortement : 1,58% sur les 20 ans en juillet contre 1,42% en juin, et 1,75% sur les 25 ans en juillet contre 1,57% en juillet. le mois précédent.

Un prêt hypothécaire à taux variable est actuellement négocié pour la première année à 1,20 ou 1,30% avec une variation potentielle pouvant aller jusqu’à 2,2%. Elle doit donc être vue comme une porte d’entrée pour un financement dans le cadre d’un projet d’investissement. Cependant, il est important de garder à l’esprit les risques liés à un tel crédit et de veiller à bien s’informer au moment de la souscription.

Les revenus complémentaires à la retraite

 PER ou investissement immobilier local ?

Un objectif partagé par la grande majorité des employés est la planification de la retraite. Probablement la majorité d’entre vous ont cela comme motivation principale.

Investir ou épargner, c’est prendre une partie de son revenu actuel et l’utiliser pour constituer un capital ou une future source de revenu supplémentaire. Nous nous engageons à travailler sur des stratégies de complément de revenu de retraite.

Pour ce faire, nous procéderons à une comparaison approfondie des deux placements qui servent régulièrement à produire un complément de revenu à la retraite : Nous opposerons les résultats d’un placement immobilier local à ceux d’un placement en PER (Plan Epargne Retraite)

Deux simulations qui nous aideront à mieux comprendre la meilleure stratégie à mettre en place (et peut-être remettre sérieusement en cause certaines hypothèses)

1) Investir dans l’immobilier local avec une carte de crédit (déficit financier) ;
2- Verser des mensualités dans un PER (Plan Épargne Retraite) est efficace (et peut sérieusement remettre en cause certaines hypothèses).

Le PER, concurrent de la défiscalisation Pinel et de l’assurance-vie.

Le PER est un véritable bulldozer qui s’apprête à bouleverser complètement le système français de répartition des richesses !

Le PER se transforme en une solution applicable à tous les problèmes hérités qui peuvent cantonner une variété de stratégies alternatives comme l’assurance-vie et même l’investissement PINEL de type PINEL en raison de son puissant potentiel de déflation et de son potentiel à devenir un formidable outil de capitalisation.

Fiscalisation :

Les sommes provisionnées dans le PER sont déduites du revenu imposable du cotisant et sont donc éligibles à une réduction de l’impôt sur le revenu dû dont l’importance dépend du prélèvement marginal de l’épargnant contributif. Le PER, qui n’est pas soumis au plafonnement des niches fiscales, devient un sérieux concurrent à toutes les autres solutions de déflation, notamment immobilières investissement type PINEL ;

Capitalisation et valorisation des actifs monétaires :

Le retraité qui saura choisir le bon PER disposera d’une quotité défiscalisée qu’il pourra utiliser pour investir dans des actifs financiers à fort potentiel de valorisation à long terme tels que Action, SCPI, FCP placement, ETF et trackers. Mais attention, comme nous l’avons expliqué dans l’article « Comment choisir un PER ? » Notre liste de six PER compétitifs est disponible ici. Un bon PER est celui qui permet avant tout une gestion libre des actifs via des ETF ou du trading direct afin de mettre en place une véritable gestion passive de long terme.

Succession :

Il apparaît que, hors décès du souscripteur d’assurance PER avant l’âge de 70 ans, qui n’est pas l’hypothèse statistique première, le PER n’est pas un véhicule fiscalement avantageux permettant de réduire les droits successoraux. Le PER apparaît vraiment comme un formidable moyen de transmission de patrimoine à un conjoint ou à des enfants puisqu’il associe un déficit des fonds dépensés à un transfert aux ayants droit qui permet d’épurer les créances latentes sur les actifs et le capital ; Une stratégie de transmission encore plus efficace fiscalement que l’assurance-vie

Enfin, le PER pourrait bien recevoir des investissements importants dans les années à venir, bouleversant l’équilibre de l’investissement et de la répartition des investissements en France.

Les effets de ce changement important dans l’organisation du système d’échange en France ne doivent pas être sous-estimés. En effet, ce nouveau PER est transférable gratuitement après cinq ans de détention, contrairement à l’assurance-vie.

Avec le PER, les créanciers ne sont plus captifs de l’infériorité fiscale et peuvent toujours transférer leur dette vers un PER plus innovant ou plus compétitif.

Une nouvelle ère est sur le point de commencer au PER !

Crédit immobilier : Utiliser l’assurance emprunteur pour respecter le taux d’assurance.

Passer sous le taux d’usure grâce à la délégation de l’assurance de prêt

Nous n’avons rien entendu de nouveau sur le taux de chômage depuis quelques semaines.
Même ceux qui n’ont plus l’intention d’obtenir un crédit d’expulsion ont entendu parler de cette idée.

Ma coiffeuse, qui ne connaît pas mon métier, m’a expliqué hier que les banques ne prêtaient plus d’argent.

Que retenez vous de ce battage médiatique ?

En raison du taux d’intérêt hypothécaire actuel, une demande de prêt immobilier à la page 2 a été rejetée et il a fallu que l’État augmente le taux avant que les gens puissent présenter une nouvelle demande de crédit.

Est-ce vraiment la réponse à tous les crimes ? En pratique et pour votre dossier de crédit, pas vraiment. Votre projet est en cours ou imminent, et le prochain taux d’augmentation est encore dans plusieurs mois en octobre.

J’ai écrit ce message alors que je travaillais comme avocat en assurance des créanciers. Cela fait des années que je n’ai pas eu de contacts avec des personnes qui sont dans des situations où leur santé est en danger :

À leurs débuts, ces débiteurs étaient des personnes malades (surpoids, diabétiques, vih, etc.) qui étaient fréquemment confrontées à des problèmes de taux d’intérêt.

En raison de surprises liées à la santé, les frais d’assurance emprunteur ont augmenté par rapport au plafond de la TAEG, qui se rapprochait dangereusement du taux d’assurance.

En raison de surprises liées à la santé, les frais d’assurance emprunteur ont augmenté par rapport au plafond de la TAEG, qui se rapprochait dangereusement du taux d’assurance.

J’ai donc une certaine expérience du sujet puisque je lâche ce genre de circonstance depuis plus de dix ans.

Par conséquent, le problème des tarifs d’assurance aujourd’hui est toujours le même, à savoir une augmentation du coût d’intégration d’une TAEG trop élevée et même supérieure au tarif d’assurance.

Un seul objectif donc : Découvrir un moyen de réduire au maximum ce TAEG afin de passer en dessous du taux d’utilisation du trimestre en cours.

Je vais donc vous proposer un des leviers pour faire baisser son TAEG, à savoir la délégation de garantie de crédit.

Vous vous trompez si vous pensez que recevoir une délégation d’assurance suffit à faire baisser le TAEG.

Le fait de choisir votre assurance emprunteur en dehors de la banque n’est qu’un outil pour vous offrir la possibilité de réduire ultérieurement le TAEG de manière plus significative. Tout d’abord, un rappel est nécessaire pour bien comprendre ce que sont le taux d’usure et les autres composantes d’un TAEG (taux annuel effectif global)

Quel est le taux d’usure, exactement ?

La Banque nationale de France fixe le taux d’usure chaque trimestre sur la base du taux accordé le trimestre précédent.

Il est calculé en divisant par trois le taux d’intérêt moyen des prêts accordés au cours du trimestre précédent.

Si le taux moyen accordé au cours du deuxième trimestre de l’année était de 2 %, le taux d’intérêt du troisième trimestre sera de 2,66 % (2*1,33 % = 2,66 %).

La banque ne peut pas vous accorder le prêt si le TAEG de votre prêt dépasse le taux d’intérêt du trimestre en cours.

Notez que les taux d’intérêt sont fournis en fonction de la durée des prêts.

Ainsi, si vous empruntez pendant 12 ans au lieu de 25, vous ne serez pas assujetti au même taux d’intérêt.

Quelles dépenses sont utilisées dans un calcul TAEG ?

Le taux effectif annuel total de votre prêt est appelé TAEG.

Les mêmes personnes qui vous disent que le TAEG est le vrai coût de votre prêt sont celles qui ne peuvent pas vraiment vous aider à résoudre un problème de taux d’intérêts trop perçus.

Vous seul êtes capable de calculer avec précision le vrai TAEG (voir « Calculer le vrai TAEG de votre Crédit Immobilier pour Comparer la Meilleure Offre de Crédit »).

La TAEG comprend les frais et charges suivants nécessaires à l’exécution de votre prêt immobilier :

  • Le taux du crédit immobilier ;
  • Fractures dans le dossier de la banque
  • Frais de garantie de crédit. Cela a à voir avec le prix de l’avertissement, du PPD ou de l’hôpital.
  • L’assurance emprunteur obligatoire précise que si vous empruntez en couple et que la banque demande une assurance à 100% par tête (ou 200%), seule 100% de cette garantie sera prise en compte dans votre TAEG.