Trouvez le bon tarif !

Comment bien choisir votre PER ?

Comme de nombreuses personnes à la recherche d’un produit de placement ou d’épargne-retraite, vous souhaitez faire le meilleur choix pour votre avenir.

Frais applicables, performances soutenues, approches de gestion suggérées… De nombreux critères doivent être pris en compte pour sélectionner un PER qui vous satisfera.

Voici quelques points que nous portons à votre attention :

– Est-il possible de gérer le PER en ligne

– Fréquence et montant des versements

– Montant actualisé du capital ou de la rente viagère au règlement du PER

– Déductions fiscales applicables

– Part de capital garantie

– Le choix entre gestion libre et gestion sous mandat

– Modalités de sortie du capital et/ou de la rente viagère

– Proportion de comptes en euros et d’unités de financement toutes les garanties supplémentaires fournies

Comparer les différents PER des nombreuses organisations qui les proposent est une première étape importante.

Le Plan d’Epargne Retraite

PER : Plan d’Epargne Retraite est un nouveau produit d’épargne retraite. Il est disponible depuis le 1er octobre 2019 et remplace progressivement les autres plans d’épargne retraite. Les PER se présentent sous 3 formes : des PER individuels et deux PER corporate.

Le PER Personnel hérite du Perp : Perp : Plan d’Epargne Retraite Populaire et Contrat Madelin : Contrat d’Epargne Retraite des Travailleurs Indépendants. La société collective PER hérite du Perco : Perco : Plan d’Epargne Retraite Collectif. Le PER entreprise obligatoire remplace les contrats de l’article 83 : contrats collectifs d’assurance-vie souscrits par les entreprises au profit de certains salariés. Vous pouvez transférer les économies de l’ancien plan que vous avez activé vers votre nouveau PER.

Le PER personnel est un produit d’épargne à long terme.

Pouvoir d’Achat : Les Français sous-estiment les économies qu’ils peuvent réaliser dans le secteur de l’assurance.

En raison des technologies d’assurance, des économies sous-estimées sur l’assurance habitation pourraient être réalisées.

Le pouvoir d’achat, la première préoccupation des Français.

Inflation, hausse des prix de l’énergie, « fin de l’abondance »… en ce retour, plus que jamais, la capacité d’achat est la première préoccupation des Français.

Le premier projet de loi de la législature actuelle a abordé la question, démontrant que le gouvernement l’avait reconnu. Lors de son allocution devant le Medef, le ministre de l’Economie et des Finances a de nouveau demandé aux assureurs de faire un geste sur les primes « du quotidien » en complément du renouvellement « en trois clics » des contrats d’assurance. Bruno Le Maire a ainsi confirmé ce qu’il avait déjà dit l’été dernier, à savoir qu’il attendait des assurances qu’ils vont « partagent le fardeau de l’inflation ».

En raison des technologies d’assurance, des économies sous-estimées sur l’assurance habitation pourraient être réalisées.

Inflation, hausse des prix de l’énergie, « fin de l’abondance »… en ce retour, plus que jamais, la capacité d’achat est la première préoccupation des Français.

Le premier projet de loi de la législature actuelle a abordé la question, démontrant que le gouvernement l’avait reconnu. Lors de son allocution devant le Medef, le ministre de l’Economie et des Finances a de nouveau demandé aux assureurs de faire un geste sur les primes « du quotidien » en complément du renouvellement « en trois clics » des contrats d’assurance. Bruno Le Maire a ainsi confirmé ce qu’il avait déjà dit l’été dernier, à savoir qu’il attendait des assurances qu’ils vont « partagent le fardeau de l’inflation ».

Réaliser des économies sans compromettre la couverture et les niveaux de service

Outre la rapidité d’indemnisation et la simplicité, le principal critère de choix d’une assurance habitation est aujourd’hui le rapport qualité/prix. Des fonctionnalités jugées essentielles par 98%* des Français.

Pour l’instant, il est nécessaire de trouver un juste équilibre entre un prix raisonnable et le bon niveau de couverture. L’assurance la moins chère peut s’avérer la plus chère à long terme, surtout le jour du jugement !

Le secteur de l’assurance peut aider les Français à avoir plus de pouvoir d’achat en se digitalisant, notamment avec l’aide de néo-assureurs. En effet, il est désormais envisageable et souhaitable de redistribuer aux clients les économies rendues disponibles par la digitalisation du secteur de l’assurance. Les Français en sont également conscients puisque 35%* d’entre eux estiment que l’entrée de nouveaux acteurs sur le marché peut entraîner une baisse des prix.

Le modèle économique des néo-assureurs leur permet de proposer des tarifs compétitifs tout en offrant des garanties extrêmement élevées et un niveau de service comparable à celui des assureurs traditionnels.

Cependant, le conflit entre les assureurs conventionnels et les assureurs new-age n’est pas inévitable. Être un acteur de l’assurance numérique ne signifie pas, en effet, que toute interaction humaine doit être éliminée. Bien au contraire. Il est important de remettre l’humain au centre de la stratégie en rationalisant les processus d’inscription et en maintenant un numéro de téléphone ou visuel en cas d’urgence.

En tant que néo-assureurs, notre défi réside dans notre capacité à trouver le juste équilibre entre ressources digitales et ressources humaines pour proposer des tarifs plus bas tout en maintenant des standards de garanties et de services plus élevés.

3 clics pour changer d’assurance, pour les bonnes raisons

Même si les conditions d’éligibilité doivent être établies, rendre les contrats d’assurance plus résilients est un bon point de départ dans la recherche d’un pouvoir d’achat plus fort. Les Néo-Assureurs sont aujourd’hui les plus avancés dans ce domaine, avec la capacité de résilience des contrats à tout moment.

De plus, grâce au numérique, les démarches de souscription sont grandement simplifiées et personnalisées, permettant des économies substantielles aux Français. Bien que cela semble aujourd’hui évident, il a fallu l’introduction de néo-assureurs sur le marché pour que les consommateurs profitent réellement de cette opportunité.

Une accentuation du ralentissement du marché immobilier ! Le retour des bonnes affaires ?

Le marché immobilier continue de s’ajuster après la COVID-19. Les données les plus récentes publiées par l’INSEE étayent :

  • la poursuite d’une très forte hausse des prix de l’immobilier pour les maisons, notamment en zone rurale mais aussi, dans une moindre mesure, en Ile de France ;
  • la poursuite d’une très forte hausse des prix de l’immobilier pour les appartements de province, bien qu’à un rythme plus lent que pour les maisons ;
  • Paris confirme la baisse des prix de l’immobilier, alors qu’elle est encore assez faible (-0,80%) ;
  • A Lyon, le prix de l’immobilier n’a pas augmenté depuis un moment, mais il n’a pas diminué non plus.

En conclusion, le marché immobilier est encore assez dynamique. Nous aurons la chance de travailler sur tous ces sujets lors du prochain cycle de formation « Investir dans l’immobilier local » qui débutera le vendredi 23 septembre.

Après les records établis les mois précédents, le nombre de transactions semble enfin refluer. Le nombre de transactions est encore assez élevé et dépasse encore largement le million par an.

Un niveau de transaction toujours élevé qui devrait baisser au second semestre en raison de la hausse des taux d’intérêt et du durcissement des normes d’octroi des crédits immobiliers.

Pour l’instant, la dynamique du premier semestre est si forte qu’un ralentissement serait le bienvenu. L’euphorie et la hausse exorbitante des prix qui l’accompagnent ne sont pas saines.

Un marché immobilier plus équilibré est nécessaire de toute urgence.

Après la récente augmentation, il est crucial de donner aux acheteurs et aux vendeurs un moment pour reprendre leur souffle et comprendre la situation afin qu’ils puissent se rétablir rapidement.

Les investisseurs immobiliers n’aiment pas les périodes euphoriques car les négociations sont difficiles et les accords rentables sont difficiles à trouver.
Investir dans l’immobilier, c’est avoir les moyens financiers de faire de bons achats. Trouver un immeuble de rapport avec du potentiel, planifier d’investir dans des projets ou des améliorations qui aideront à réaliser ce potentiel, puis en profiter soit comme résidence principale ou secondaire, soit comme source de revenus locaux.

De nombreux acheteurs sont présents en période d’euphorie ; Il est impossible de négocier un bon prix d’achat car tout se vend à n’importe quel prix ! Les vendeurs ont peu d’intérêt à accepter des négociations en période d’euphorie tant il y a d’acheteurs consentants prêts à payer n’importe quel prix pour tout !

Nous sommes sur le point de vivre la fin de cette euphorie. La hausse des taux d’intérêt et le resserrement des conditions des prêts hypothécaires devraient se traduire par une diminution du volume des transactions.

Nous entrons dans un marché qui semble plus sain et équilibré entre acheteurs et vendeurs.

Moins de liquidité signifie que les cycles de vente vont s’allonger. Et les candidats à l’investissement immobilier pourront enfin tenter de faire un bon achat. Nous ne sommes clairement pas en pleine expansion du marché.

Le ralentissement du marché, la difficulté accrue à obtenir un crédit immobilier du fait de la hausse des taux d’intérêt des crédits immobiliers et l’accélération de la vétusté de l’immobilier qui empêche les propriétaires de louer des biens à faible DPE devraient néanmoins réduire la liquidité du marché.

Il faudra plus de temps pour vendre des articles avec un emplacement indésirable ou avec un défaut qui les empêche de satisfaire la demande majoritaire. Les vendeurs ne pourront plus utiliser la panique pour imposer des prix complètement absurdes ; au lieu de cela, ils devront s’adapter à une demande plus élevée.

Des raisons fortes serviront à effrayer les vendeurs qui profiteraient de l’euphorie pour vendre n’importe quoi à n’importe quel prix, comme l’immobilisme et le manque de tâches à accomplir à court et moyen terme.

Certains vendeurs, qui n’attendront pas, cèderont aux acheteurs potentiels qui fourniront les raisons les plus solides pour convaincre le vendeur que le prix de la propriété est juste.

Portez une attention particulière à la négociation des frais, cependant. Le marché immobilier est encore assez actif et cette tendance devrait se poursuivre à l’avenir. Nous ne sommes pas, en effet, dans un marché qui décline. C’est juste avant la fin de l’euphorie.

Inutile d’essayer de négocier des remises de 30% ou 40% en supposant la fin du monde et l’effondrement du marché. Ce n’est pas la réalité.

Après une hausse qui atteint parfois +30% en trois ans, une petite consolidation de -5% ou -10% ne serait pas bien catastrophique.

La proposition est simplement d’expliquer que la fin de l’euphorie permet une plus grande marge de négociation, mais que cette marge sera encore modérée puisque, oui, les taux d’intérêt immobiliers augmentent rapidement mais sont encore bien inférieurs à l’inflation.

Nous sommes toujours dans une période de taux d’intérêt réels négatifs, ce qui est très bénéfique au dynamisme du marché immobilier.

Attention à ne pas regarder le train passer en attendant une très forte baisse qui ne se produira jamais ! Il faut agir et investir. Il y aura toujours un argument pour vous convaincre d’attendre ; ce n’est jamais le bon moment. Ce serait une erreur !

L’erreur est de ne rien faire et d’attendre sans fin le moment idéal, qui ne viendra jamais. puis le regretter après 20 ans.

Demain, si le taux de crédit immobilier devait être supérieur au taux d’inflation, la justification pourrait être différente (mais comme cela impliquerait une croissance économique très rapide, d’autres justifications pourraient alors être en mesure d’expliquer un marché immobilier dynamique).

3 façons d’obtenir un accord de crédit immobilier malgré des taux d’intérêt élevés.

La question du taux de chômage a occupé le devant de la scène ces dernières semaines. Avec la hausse des taux d’intérêt des crédits immobiliers, il apparaît qu’il y a de plus en plus de refus de crédit immobilier.

Malgré l’attention médiatique que le sujet a reçue, j’ai été surpris de ne pas recevoir beaucoup de commentaires ou de demandes de conseils. C’est étrange. Le but est d’essayer de calculer l’ampleur du problème plutôt que de nier son existence. S’agit-il vraiment d’un problème de courtisan ou d’un problème plus vaste qui ruinera le marché immobilier ?

Pour faire simple, le taux d’intérêt le plus élevé que votre crédit immobilier risque de ne pas atteindre est le TAEG.

En conséquence, et de manière basique, vous devez baisser le TAEG de votre crédit immobilier afin qu’il tombe en dessous du taux d’intérêt trimestriel fixé par la Banque française afin d’obtenir un contrat de prêt immobilier.

Ce n’est pas beaucoup plus compliqué que cela. Vous devez donc essayer ce qui suit afin de faire baisser le taux d’intérêt et obtenir un accord de crédit immobilier :

  1. Baisser le taux d’intérêt nominal de son crédit immobilier (pas facile en ce moment compte tenu de la hausse des taux, à moins d’envisager un cap à taux variable s’il n’y a pas d’autres options, comme nous vous l’expliquons dans cet article « Le crédit immobilier à taux variable pourrait s’imposer face à la violente hausse des taux qui menace les banques »
  2. Négocier les frais de premier dépôt de la banque (facile mais inefficace pour faire baisser le TAEG).
  3. Enfin, et peut-être le plus important, négociez votre assurance emprunteur lors du passage en délégation d’assurance emprunteur. (Très efficace pour réaliser d’importantes économies sur la durée de votre crédit immobilier, comme vous pouvez le constater en utilisant notre comparateur d’assurances de prêt) – L’assurance de prêt en délégation est la clé pour éviter la flambée des taux d’intérêt.

Simulateur : Négociez votre assurance prêt hypothécaire pour faire baisser votre taux d’intérêt.

Afin de vous accompagner dans l’obtention de votre crédit immobilier, nous avons créé un simulateur.
Ce simulateur vous aidera à mieux comprendre les mécanismes qui vous permettront d’obtenir votre crédit immobilier, notamment la capacité de l’assurance délégation de prêt à descendre en dessous du seuil du plancher de taux d’intérêt.

A l’aide de notre simulateur, vous pouvez déterminer le montant maximum d’assurance emprunteur qui vous permettrait de payer moins d’intérêts.

Meilleurs taux de crédit immobilier en octobre 2022 : des taux d’intérêt autour de 3,80 % !

Dès septembre, la Banque de France a publié des données très rassurantes sur la croissance du marché du crédit immobilier.

Ainsi, en août, le taux d’intérêt moyen des prêts hypothécaires remboursés en août (et probablement négociés en juin) était de 1,57 % contre 1,45 % en juin.

Il s’agit du Taux Effectif à la Sensibilité (TESE). Les statistiques sur les taux d’intérêt bancaires reflètent les taux réellement consentis par les établissements de crédit.

Les taux reportés sont des taux d’effets à court terme (TESE), qui correspondent à la composante intérêt des taux d’effets globaux (TEG) Ils diffèrent des taux « catalogue » affichés par les établissements dans le cadre de leurs offres commerciales puisque les agents non financiers peuvent négocier de meilleures conditions que celles annoncées – Source : Statistiques sur les taux d’intérêt bancaires.

Malgré les faits alarmants auxquels nous sommes exposés chaque jour, il y a eu une augmentation significative des taux d’intérêt des prêts immobiliers depuis le début de l’année.

Un article très réconfortant étant donné que les prêts hypothécaires qui ont fait défaut en août ont été négociés au printemps alors que les taux d’emprunt de l’État étaient déjà à 2 % à 2,50 %.

Et en particulier dans des niveaux de crédit constamment élevés.

Quelles perspectives avez-vous pour octobre 2022 ?

Depuis deux mois, les courtisans n’ont cessé de se plaindre de la difficulté à faire la tâche en raison d’un taux d’usure trop faible.
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Ces individus ont même manifesté devant la banque française pour réclamer une augmentation du taux d’intérêt.

Ils n’étaient que quelques-uns à arborer des pancartes et des slogans réclamant une hausse des taux de crédit immobilier sans même se demander pourquoi les prêts étaient refusés et, notamment, sur leur pratique commune avec les banques de ne pas respecter la loi sur le libre choix des emprunteurs !

Le taux d’intérêt serait beaucoup moins problématique si les banques et les courtiers en prêts immobiliers suivaient la loi et permettaient à leurs clients de choisir leur propre fournisseur d’assurance plutôt que de leur imposer l’option la plus chère. Nous détaillons cela dans notre article « Crédit immobilier : 3 solutions pour obtenir un accord de crédit immobilier malgré le taux d’intérêt ».

Au-delà de ces discussions inutiles et sans intérêt, le taux effectif moyen des derniers mois approche les 2,40%/2,50%, soit à peu près l’équivalent du taux d’intérêt qui vous pose problème depuis trois mois pour obtenir un crédit immobilier .

Le taux de chômage que nous définirons au 1er octobre devrait être plus proche de 3,00% à 3,20% avec un taux d’effectivité moyen sur 3 mois autour de 2,30%/2,40% !

Gardez à l’esprit que le taux d’impact moyen pour les mois d’avril, mai et juin était de 1,93 %.

En fait, le résultat d’une simple formule mathématique est le taux de chômage. Le taux d’usure est fixé par la Banque centrale de France sur la base des taux d’intérêt effectifs pratiqués par les établissements de crédit tiers.

Ainsi, sur la base du taux d’impact moyen, le taux d’utilisation peut être :

  • Avec un taux d’effet typique de 2 %, le taux d’assurance devrait être de 2,66 % ;
  • avec un taux d’effet type de 2,20 %, le taux d’assurance devrait être de 2,92 % ;
  • avec un taux d’effet typique de 2,30 %, le taux d’assurance devrait être de 3,05 % ;
  • avec un taux d’effet type de 2,40 %, le taux d’assurance devrait être de 3,19 % ;
  • et avec un taux d’effet typique de 2,50 %, le taux d’assurance devrait être de 3,32 % ;
  • En conclusion, à partir du 1er octobre 2022, les taux d’intérêt devraient remonter pour les banques, leur ouvrant la porte à une nouvelle expansion du marché du crédit immobilier.

Les banques, qui ne sont que des commerçants comme les autres, se sentiront obligées de reprendre leur rôle de prêteurs.
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Le TAEG maximum de votre crédit immobilier ne pourra excéder 3,20% avec un taux d’intérêt d’environ 3,20%.

Un TAEG qui comprend :

  • Le taux d’intérêt nominal de votre crédit hypothécaire ; Par conséquent, un taux de crédit immobilier nominal qui respecte le taux d’usure pourrait monter jusqu’à 2,70%/2,80%.
    Les frais de dossier de la banque ;
    Frais de garantie
    Les primes d’assurance des emprunteurs

En résumé, à compter du 1er octobre 2022, la hausse des taux d’intérêt devrait permettre de rouvrir les portes du crédit immobilier afin que les agents non financiers puissent négocier de meilleures conditions et circonstances que celles qui ont été annoncées.

Lieu d’investissement : comment choisir un studio dans une ville

Les petites surfaces offrent de belles opportunités car elles sont accessibles. La fiscalité, la localisation et le système de réglementation local sont les lignes directrices pour garantir que la rentabilité est au rendez-vous. Exemples à Angers, Aix-en-Provence et Lille.

L’idée d’acheter un studio, de le louer et de compléter ses revenus en conséquence est simple sur le papier. Mais en réalité, c’est plus difficile. Faut-il acheter de l’occasion ou du neuf, louer meublé ou vide, ou choisir une résidence étudiante ? L’éventail des rendements est large, allant de 2 à 7 % selon la manière dont l’investissement a été réalisé et le niveau de risque accepté. Trois facteurs doivent être pris en compte lors de la prise de décision : le lieu, le profil du localisateur et, non des moindres, le type de cautionnement, qui affectera directement le fardeau fiscal et, par conséquent, les revenus futurs du dépositaire.

Le potentiel des villes universitaires

Trouver la bonne ville dans laquelle investir est la première étape. Gardez à l’esprit que le coût d’un studio peut varier de 70 000 à 200 000 euros selon l’emplacement. Mieux vaut se concentrer sur ceux où la demande est forte afin d’être sûr de trouver rapidement un propriétaire et de relouer le local dès qu’il se libère. Selon Régis Sébille, data analyst chez Bien’Ici, « Le marché local devient de plus en plus tendance dans ce retour. Trois quarts des petites surfaces disponibles sont proposées à la vente, alors qu’un quart seulement est proposé à la location. il y a quelques années, le rapport était de un à deux tiers. »

Les villes universitaires sont privilégiées car elles accueillent beaucoup de jeunes actifs et les étudiants constituent un quartier idéal pour un studio. Par exemple, Lille, Angers, Aix-en-Provence « où la contrainte immobilisante est particulièrement forte, observe Régis Sébille. Les petites surfaces aménagées sont particulièrement demandées, même si elles ne constituent pas la majorité des produits du marché ».

Anticiper la fiscalité

L’étape suivante consiste à décider quel type d’investissement est le plus adapté à la ville choisie. » Selon Audrey Marigliano, directrice de l’immobilier et du crédit chez Pierres by Cristal, la responsabilité économique est une composante essentielle, mais il est également important de considérer le niveau d’engagement L’achat d’une chambre dans une résidence étudiante coûte beaucoup moins cher que d’entreprendre la rénovation complète d’un studio à des fins locatives. Le placement nu traditionnel est de moins en moins utilisé. Marc Guillemois, conseiller en gestion du patrimoine de Quintésens, prévient que taxer les loyers d’un immeuble abandonné est extrêmement pénalisant. Après soustraction d’un certain nombre de frais (tels que les frais de gestion et les frais d’assurance), les sommes imposables sont en fait soumises aux cotisations sociales au taux de 17,2% et l’impôt sur le revenu au taux marginal du cotisant. Aussi dit, un investisseur de la tranche marginale de 30% verse près de la moitié (47,2%) de son salaire au fonds. Le régime de microfinance simplifié est en vigueur si moins de 15 000 euros de revenus locaux annuels sont perçus. Cela donne droit à une réduction de 30% du salaire brut avant application des impôts et cotisations sociales.

Comment configurer les bornes électriques de votre propriété

L’utilisation des véhicules électriques en milieu urbain suscite de nouvelles implantations de parkings dans les immeubles privés. Un effort qu’il convient de faire méthodiquement.

Interdiction de la vente de véhicules neufs à propulsion thermique en 2035, hausse du prix des carburants, déploiement des Zones à Faibles Emissions (ZFE) dans la majorité des grandes villes (dernière en date, Marseille à partir du 1er septembre), et redevances de stationnement pour deux -véhicules thermiques à roues à Paris… Tout concourt à persuader les automobilistes d’utiliser l’électricité. Cependant, la capacité de faire le plein de son véhicule est toujours requise. Les copropriétés devront donc s’associer. Être méthodique et patient est préférable qu’il s’agisse d’un parking fermé ou ouvert, avec le recâblage et l’installation d’un compteur spécial inclus. « C’est l’heure du problème actuel. Il faudra 6 à 12 mois pour équiper une copropriété », prévient Benjamin Gauzi. , directeur de copropriété chez White Bird, startup spécialisée dans la gestion immobilière.

Quels sont les frais de copropriété pour un bien immobilier ?

Qu’elles soient générales ou particulières, les charges de copropriété ont un prix. Ils sont essentiels et sont calculés en fonction de plusieurs critères.

Un immeuble qui appartient à plusieurs propriétaires différents est considéré comme une copropriété. Il s’agit généralement d’un immeuble à appartements, mais il peut également s’agir d’une maison individuelle appartenant à un groupe ou d’une maison divisée en plusieurs unités. Quelle que soit sa forme, qu’elle soit constituée de deux lots seulement, de plusieurs dizaines ou de centaines, elle doit être gérée par un syndicat de copropriété. L’un des copropriétaires peut se porter volontaire pour s’occuper de toutes les tâches, mais le plus souvent, il s’agit de syndics de professionnels de la copropriété puisqu’une telle gestion demande de solides connaissances, notamment sur le plan juridique. Dans toutes les situations, les copropriétaires sont tenus de payer des frais à ce syndicat. Ces frais, qui peuvent être réguliers ou ponctuels, sont destinés à couvrir les frais d’entretien du bâtiment et les éventuelles réparations nécessaires. Le montant dû par chaque copropriétaire varie en fonction de sa quote-part, ou de l’importance de sa participation dans la copropriété, ainsi que de la nature des honoraires.

Les charges générales de copropriété

Les charges générales regroupent plusieurs éléments à l’intérieur d’une copropriété. D’abord et avant tout, il y a les coûts associés à la gestion de la propriété. Parmi ceux-ci, les principaux sont l’indemnisation du syndicat de copropriété ou les frais liés à la tenue de l’assemblée générale annuelle. Aux frais généraux s’ajoutent également l’entretien courant de l’immeuble, à commencer par la taxe d’enlèvement du matériel de direction ou le nettoyage des parties communes. De plus, l’un des aspects les plus cruciaux de l’existence d’une copropriété est la gestion collective des parties. Le budget des copropriétaires peut également être dépassé par des charges générales mais exceptionnelles. Même si des travaux aussi importants sont souvent prévisibles à l’avance, la réfection d’un WC ou le ravage d’une façade rentrent dans cette catégorie de frais exceptionnels. Chaque copropriétaire doit contribuer à hauteur de sa quote-part des parties communes au paiement des frais généraux. Il utilise une unité de mesure spécifique appelée le tantième. Par conséquent, si un copropriétaire est copropriétaire à 10 % des fractions des parties communes, il devra s’acquitter de 10 % des redevances annuelles générées.

Les frais d’affectation spéciale

Un autre facteur de coût à considérer est les frais supplémentaires. Ils sont répartis en deux catégories : les services collectifs et les équipements communs. Un système de sécurité, des services de nettoyage ou l’embauche d’un gardien d’immeuble sont des exemples de services collectifs dont peuvent bénéficier les copropriétaires. En termes d’équipements partagés, une chaudière collective ou un ascenseur sont les plus populaires. De plus, des frais exceptionnels peuvent s’y ajouter. Par exemple, si la chaudière s’enflamme soudainement, des coûts inattendus et inévitables en résulteront. Les choses sont un peu différentes qu’avec les charges générales lorsqu’il s’agit de payer des charges spéciales. En réalité, la question n’est pas entre guillemets, mais plutôt l’utilité objective. Certaines installations peuvent ne pas être utilisées par tous les copropriétaires de la même manière. Un résident du rez-de-chaussée n’aura pas à payer l’ascenseur à moins qu’il ne donne accès au sous-sol de l’immeuble ou à une place de stationnement. Afin que personne ne soit exclu de ce délicat processus de répartition des charges, la répartition précise des charges particulières dues par chaque copropriétaire doit être déterminée lors de l’assemblée générale.

Le paiement des charges de copropriété

Chaque année, le syndicat de copropriété établit un budget prévisionnel. Cela comprend à la fois les frais généraux et les frais spéciaux, ainsi que les travaux à effectuer ou les équipements à budgétiser au cours de l’année. Chaque copropriétaire est tenu de s’acquitter d’un montant spécifique de redevances conformément à ce budget, le paiement étant souvent effectué trimestriellement. En cas de charges extraordinaires non prévues, l’assemblée générale permet de déterminer la part de la dette de chaque copropriétaire, le syndicat de copropriété se chargeant d’en informer les autres copropriétaires. Sachez qu’un copropriétaire peut intenter une action en justice s’il croit avoir été lésé et que les allégations portées contre lui sont trop graves. Une action nécessaire puisque le défaut de payer les frais de copropriété au syndicat de copropriété pourrait avoir de graves répercussions juridiques et entraîner frais supplémentaires (court, huissier, hypothèque).

Quelles sont les alternatives de sécurité énergétique ?

Afin de lutter contre la précarité énergétique, le gouvernement a mis en place un certain nombre de programmes qui aideront les ménages qui ont du mal à payer leurs factures

Les ménages qui manquent de ressources financières ou d’un logement adéquat pour couvrir le coût de l’énergie nécessaire à leurs besoins de base – se laver, cuisiner et se chauffer – sont dits en situation de précarité énergétique. La définition de la précarité énergétique par l’Onpe (Observatoire National de la Précarité Energétique) repose sur un certain nombre de critères, dont le taux d’effort énergétique (TEE), l’indicateur de bas revenus et de fortes dépenses (BRDE), et l’expérience du froid ouvert.

Financer la lutte contre la précarité énergétique

En premier lieu, les ménages en situation de précarité énergétique peuvent se tourner vers l’énergie à carreaux. L’Etat envoie ce chèque une fois par an. En 2022, selon les revenus des ménages, le chèque énergie proposera aux Français ayant des factures énergétiques excessives entre 48 et 277 euros. Chaque foyer en situation de précarité énergétique ayant eu des revenus déclarés aux impôts l’année précédente s’est vu adresser automatiquement ce chèque. Il fonctionne avec n’importe quel type d’énergie. Le montant du chèque énergie de préaffectation peut être directement déduit de la facture énergétique d’un ménage en en faisant la demande.

En plus du gouvernement, les citoyens sont encouragés à lutter contre la précarité énergétique en faisant de petits dons à leur consommation d’énergie. L’idée est que chacun choisit un certain nombre de centimes par kilowattheure à donner au Fonds de solidarité énergétique, qui distribue ensuite l’argent récolté à des organismes qui soutiennent les ménages en situation de précarité énergétique.

La lutte contre la précarité énergétique s’accompagne d’améliorations environnementales plus économes en énergie.

Le coût de l’énergie ou les faibles revenus ne sont pas les seuls facteurs contribuant à la précarité énergétique. Fréquemment, le coût d’entretien d’un appartement est élevé car l’isolement est médiocre, vétuste ou inexistant. Ainsi, l’État agit pour lutter contre la précarité énergétique en encourageant les aides financières destinées à renforcer l’efficacité énergétique d’un logement. Plusieurs programmes peuvent être combinés selon les fonds et les projets envisagés :

  • Habiter Mieux, de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat) ;
  • MaPrimeRénov’ ;
  • taux de TVA réduit pour le projet ;
  • écoprêt…

Ces programmes d’aides s’adressent non seulement aux propriétaires de leur logement mais également aux allocataires sociaux qui bénéficient également d’une réduction de la taxe foncière sur les biens immobiliers. L’encouragement à la rénovation énergétique coopérative passe notamment par l’accès des groupements de copropriétaires à MaPrimeRénov et au programme France Relance.