À partir de vendredi, le taux d’intérêt maximum qu’une banque peut prêter à un particulier augmentera d’environ 0,15 à 0,20 %. Un choix qui doit permettre aux ménages de continuer à devenir propriétaires face à l’inflation.
Le taux d’intérêt en évolution
La Banque de France a déconseillé d’augmenter les taux à ce niveau mesurablement élevé d’effet d’éviction (c’est-à-dire de refus de crédit) si les prêteurs et les banques voulaient voir les plafonds de taux augmenter davantage pendant cette période de flambée des taux d’intérêt.
La Banque de France a déconseillé d’augmenter les taux à ce niveau mesurablement élevé d’effet d’éviction (c’est-à-dire de refus de crédit) si les prêteurs et les banques voulaient voir les plafonds de taux augmenter davantage pendant cette période de taux d’intérêt flamboyants. À partir du vendredi 1er juillet, la marché du crédit immobilier va souffler un peu. Cependant, ce n’était pas la bulle d’oxygène que les experts avaient anticipée. A partir du 1er juillet en France, le taux d’intérêt le plus élevé qu’une banque peut prêter à un particulier augmenterait « de 15 à 20 points de base environ, selon la durée ».
En réalité, ce taux passera de 2,40% à 2,55% voire 2,60% pour les prêts d’une durée de 20 ans ou plus, ce qui est le plus couramment accordé. Le plafond sera fixé à 2,58% ou 2,63% pour les crédits entre 10 et 20 ans (contre 2,43% aujourd’hui). Chaque trimestre, l’institution financière calcule un taux plafond qui reflète les taux d’intérêt moyens observés au cours des trois mois précédents. Il comprend toutes les dépenses liées au crédit, y compris les taux d’intérêt, l’assurance emprunteur, les frais de garantie (caution, hypothèque) et de dossier.
Cette hausse est donc logique compte tenu de la flambée actuelle des taux d’intérêt. Ils sont passés en moyenne de 1,38 % en mai avant l’assurance à 1,06 % en décembre 2021. Cette loi sur les taux d’intérêt maximum a été créée pour prévenir les coûts d’emprunt excessifs et protéger les emprunteurs, selon la Banque de France Récemment, des fonctionnaires de justice et des représentants de sociétés de prêt sont venus ensemble pour exprimer leur souhait de déclaration de circonstances exceptionnelles qui permettrait un nouvel avancement au 1er juillet. Nous ne prenons cependant pas en compte cette étape quantifiable d’effets d’éviction (rejets de crédits) liés à ces taux plafonds.
Banquets et courtisans insatisfaits
En outre, un certain nombre de réseaux bancaires ont déjà cessé d’accorder du crédit, notamment HSBC, BNP Paribas, la Société Générale et sa filiale Crédit du Nord, qui envoient des courtiers. La Fédération bancaire française (FBF), qui juge le nouveau taux d’intérêt maximum « insuffisant », affirme que le dispositif « ne doit pas devenir un mécanisme d’exclusion des ménages pour le financement de leurs projets économiques ».
La Banque de France ne constate pas de baisse du volume de crédits produits. Elle continue d’être historiquement très élevée et augmente de plus de 6,5% sur une base annuelle, pointant le manque de rationnement de l’institution. On constate également que les associations entre emprunteurs et familles ne se sont pas prononcées sur les effets potentiels d’une expulsion.