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La saison des crédits

Ça y est c’est le printemps ! la saison des fleurs, des papillons et… des crédits ! la demande est tellement forte à cette période que les banques n’arrivent pas à donner les prêts à temps. Celles-ci ont tellement de demande et de dossiers en attentes qu’elles fixent de plus en plus de critères de sélection. Cela devient de plus en plus compliqué pour les emprunteurs d’avoir des taux intéressants et un traitement de dossier dans les temps.

Le service et la gestion client s’est également fortement détériorée, l’attente est plus longue, la qualité de conseil est négligée, les conseillers sont débordés.
Les banques sont débordées mais garde la main mise et le pouvoir sur le sort des emprunteurs, en position de force, elles n’hésitent pas à augmenter les frais de dossier, et à appliquer des critères de sélection très stricts. De plus le taux des crédits réalisés à la banque a largement augmentés en 2020 alors que les conditions de remboursement et d’assurance se sont durcis.

Maintenant les banques n’acceptent plus que le taux d’endettement dépasse les 35% cela réduit donc les possibilités d’emprunts et ne permet plus aux consommateurs de réaliser leurs projets immobiliers. Les critères d’assurance de prêt se sont également durcit, un suivi des dépenses et du dossier médical est également exigé. Il faut donc réunir plusieurs conditions complexes afin d’obtenir un prêt immobilier.

Le taux est aussi très haut car c’est plus intéressant pour les banques d’avoir un taux d’intérêt qui leur rapporte plus, c’est en effet de cette manière qu’elles se financent. Les particuliers n’ayant pas les ressources nécessaires pour obtenir un prêt se retrouvent donc obliger d’abandonner leurs projets ou bien de contracter un prêt auprès d’une banque qui ne leur convient pas.

Un refus de prêt peut aussi être enclenché si le taux d’usure est trop élevé, c’est d’ailleurs souvent le cas dans certaines catégories d’emprunteurs comme les seniors ou personnes qui présentent des pathologies.
Les refus de prêt sont de plus en plus nombreux et seulement les meilleurs dossiers sont sélectionnés, pas forcement ceux aux revenus les plus élevés mais ceux qui cocheront tous les critères imposés par les prêteurs, c’est-à-dire les banques.
Les banques sont comme des entreprises finalement elles choisissent le client le plus offrant avec le dossier le moins risqué et ne font même plus office de conseiller mais simplement de vendeurs.

Il est donc important de se faire conseiller par un courtier ou une agence de conseil afin d’avoir le meilleur contrat et le meilleur prêt.
Les banques détiennent le pouvoir et certains organismes commencent à vouloir renverser la tendance en proposant des solutions plus faciles d’accès pour les emprunteurs particuliers ou professionnels. Comme en proposant des solutions aux mêmes garanties que les banques mais avec des frais de dossier moins cher et une gestion client plus efficace et plus rapide.

Il existe aussi des comparateurs de crédits qui pense vous permettre de trouver la meilleure solution.

Les vendeurs ont le vent en poupe sur le marché de l’immobilier !

En France comme partout, la courbe des prix de l’immobilier ne cesse d’évoluer positivement. En effet, cette hausse particulièrement explosive se fait ressentir dans de nombreux pays bien que ces chiffres ne se voient pas encore dans les statistique et études réalisées par certains organismes.

Au sein de certains pays et régions, on remarque même une hausse de plusieurs points car les prix augmentent alors que l’offre baisse, l’élasticité des prix est rudement mise à l’épreuve.

Les biens immobiliers étant très prisés sont pris d’assaut et les budgets s’envolent.
A ce jour, les acheteurs et particuliers n’ont pas de soucis à se faire mais devraient rester sur leurs gardes pour l’avenir car cette hausse des prix devrait se faire ressentir très prochainement.

L’envolée des prix du marché des biens immobilier serait-elle en lien avec les épreuves économiques et crises traversées cette année ?
La demande est complètement dépendante des vendeurs, ceux-ci détiennent le pouvoir et fixent indépendamment leurs prix. Il est quasiment impossible pour les acheteurs de négocier le prix d’achat et doivent donc battre en retraite.

La pression que subit le marché est énorme, bien que l’état de crise soit encore loin à atteindre on peut remarquer un stress de la part des consommateurs qui sont prêt à acheter peu importe le prix, de peur de voir les budgets augmenter encore et encore.
L’état du marché permet à l’inverse aux vendeurs de faire de sacrées affaires ! Ils revendent leurs biens à des sommes astronomiques ! A l’inverse certains préfèrent atteindre que les prix grimpent encore un peu pour revendre au prix maximum.

Il y a quelques années le marché vivait exactement l’opposé, les propriétaires avaient beaucoup de mal à revendre leurs biens et prenaient le premier acheteur venu et perdaient beaucoup d’argent. A cette époque il valait mieux attendre que les prix remontent pour revendre seulement certains vendeurs n’avaient pas le choix et devaient obligatoirement vendre rapidement, ils ont donc perdu beaucoup d’argent. En revanche, c’était le bon moment pour les acheteurs, ceux qui ont investis à cette période et revendent maintenant ont bien joués leur coup !

Le marché de l’immobilier à Paris.

Contrairement au reste de la France, il semblerait que les acheteurs voulant investir à Paris ou dans d’autres grandes métropoles soient les plus chanceux ! Ces biens imprenables et hors de prix sont un peu plus abordables ces derniers temps.
Les gens se tournent peu à peu vers les villes plus vertes, en campagnes ou en banlieues, c’est surement une des séquelles laissées par la crise épidémique. Les foyers cherchent plus d’espace, de verdure mais aussi moins de pollution, de bruits et de stress.

Ce phénomène s’explique assez facilement, pendant la crise du Covid de nombreuses familles ont réalisées qu’elles ne supportaient plus de vivre enfermées à plusieurs, de plus le travail à la maison étant de plus en plus répandu, cela incite les salariés à partir.
Les métropoles sont vidées et le prix de leur immobilier baisse. Pas d’inquiétude se sont des villes qui ne subiront jamais trop fortement l’exil rural, on y trouve d travail et une bonne qualité de vie, ce sont des villes qui restent très attractives.

C’est donc particulièrement le cas pour la ville de Lyon et la ville de Paris. C’est moins le cas pour Marseille car c’est une ville ou la nature est très présente, encore très sauvage par endroit.
C’est dans ce contexte de crise pandémique et d’envolement des prix de l’immobilier, accentué par les impacts de cette crise sanitaire que l’accroissement de villes plus petites et moins attractives devient possible. Paradoxalement, des villes de taille moyennes comme Angers, Grenoble, Caen, Nice, Limoges etc… deviennent la destination des familles et salariés. Certaines deviennent même le siège officiel de plusieurs entreprises. C’est un point très positif pour la dynamisation de lieux plus reculés.

Ces retombés indiquent également une hausse des prix de l’immobilier dans ces villes, plus elles seront attractives, plus la demande en logement va augmenter et par définition, les prix vont évoluer. Heureusement, les prédictions indiquent une hausse légère, pas plus de 20% de hausse en 2021 et en moyenne 12% de hausse pour les régions rurales.

En bref, le marché de l’immobilier subit de grosses pressions et est susceptible de suivre des facteurs économiques, politiques et sociaux. Affaire à suivre.

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