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Les vendeurs ont le vent en poupe sur le marché de l’immobilier !

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En France comme partout, la courbe des prix de l’immobilier ne cesse d’évoluer positivement. En effet, cette hausse particulièrement explosive se fait ressentir dans de nombreux pays bien que ces chiffres ne se voient pas encore dans les statistique et études réalisées par certains organismes.

Au sein de certains pays et régions, on remarque même une hausse de plusieurs points car les prix augmentent alors que l’offre baisse, l’élasticité des prix est rudement mise à l’épreuve.

Les biens immobiliers étant très prisés sont pris d’assaut et les budgets s’envolent.
A ce jour, les acheteurs et particuliers n’ont pas de soucis à se faire mais devraient rester sur leurs gardes pour l’avenir car cette hausse des prix devrait se faire ressentir très prochainement.

L’envolée des prix du marché des biens immobilier serait-elle en lien avec les épreuves économiques et crises traversées cette année ?
La demande est complètement dépendante des vendeurs, ceux-ci détiennent le pouvoir et fixent indépendamment leurs prix. Il est quasiment impossible pour les acheteurs de négocier le prix d’achat et doivent donc battre en retraite.

La pression que subit le marché est énorme, bien que l’état de crise soit encore loin à atteindre on peut remarquer un stress de la part des consommateurs qui sont prêt à acheter peu importe le prix, de peur de voir les budgets augmenter encore et encore.
L’état du marché permet à l’inverse aux vendeurs de faire de sacrées affaires ! Ils revendent leurs biens à des sommes astronomiques ! A l’inverse certains préfèrent atteindre que les prix grimpent encore un peu pour revendre au prix maximum.

Il y a quelques années le marché vivait exactement l’opposé, les propriétaires avaient beaucoup de mal à revendre leurs biens et prenaient le premier acheteur venu et perdaient beaucoup d’argent. A cette époque il valait mieux attendre que les prix remontent pour revendre seulement certains vendeurs n’avaient pas le choix et devaient obligatoirement vendre rapidement, ils ont donc perdu beaucoup d’argent. En revanche, c’était le bon moment pour les acheteurs, ceux qui ont investis à cette période et revendent maintenant ont bien joués leur coup !

Le marché de l’immobilier à Paris.

Contrairement au reste de la France, il semblerait que les acheteurs voulant investir à Paris ou dans d’autres grandes métropoles soient les plus chanceux ! Ces biens imprenables et hors de prix sont un peu plus abordables ces derniers temps.
Les gens se tournent peu à peu vers les villes plus vertes, en campagnes ou en banlieues, c’est surement une des séquelles laissées par la crise épidémique. Les foyers cherchent plus d’espace, de verdure mais aussi moins de pollution, de bruits et de stress.

Ce phénomène s’explique assez facilement, pendant la crise du Covid de nombreuses familles ont réalisées qu’elles ne supportaient plus de vivre enfermées à plusieurs, de plus le travail à la maison étant de plus en plus répandu, cela incite les salariés à partir.
Les métropoles sont vidées et le prix de leur immobilier baisse. Pas d’inquiétude se sont des villes qui ne subiront jamais trop fortement l’exil rural, on y trouve d travail et une bonne qualité de vie, ce sont des villes qui restent très attractives.

C’est donc particulièrement le cas pour la ville de Lyon et la ville de Paris. C’est moins le cas pour Marseille car c’est une ville ou la nature est très présente, encore très sauvage par endroit.
C’est dans ce contexte de crise pandémique et d’envolement des prix de l’immobilier, accentué par les impacts de cette crise sanitaire que l’accroissement de villes plus petites et moins attractives devient possible. Paradoxalement, des villes de taille moyennes comme Angers, Grenoble, Caen, Nice, Limoges etc… deviennent la destination des familles et salariés. Certaines deviennent même le siège officiel de plusieurs entreprises. C’est un point très positif pour la dynamisation de lieux plus reculés.

Ces retombés indiquent également une hausse des prix de l’immobilier dans ces villes, plus elles seront attractives, plus la demande en logement va augmenter et par définition, les prix vont évoluer. Heureusement, les prédictions indiquent une hausse légère, pas plus de 20% de hausse en 2021 et en moyenne 12% de hausse pour les régions rurales.

En bref, le marché de l’immobilier subit de grosses pressions et est susceptible de suivre des facteurs économiques, politiques et sociaux. Affaire à suivre.

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