Un marché immobilier très dynamique
Plus d’un million de ventes de logements anciens ont eu lieu entre 2020 et 2021. Cela représente une belle augmentation de 23% du nombre total de ventes immobilières.
L’augmentation persistante s’explique par :
Les aspirations de la France ont changé avec la crise sanitaire
la mise en place de facteurs économiques et sociaux favorables à l’investissement immobilier.
En fait, la crise sanitaire a contraint de nombreuses personnes à quitter les noyaux urbains des grandes métropoles du pays et à déménager vers des villes plus rurales et de classe moyenne. L’exode urbain ne se discute pas car il ne touche qu’une petite partie de la population. Cependant, l’augmentation de cette mobilité a contribué à ralentir la hausse du coût du logement dans les grandes villes, comme Paris.
Cependant, une tendance générale des propriétaires fonciers à acheter des terrains et à déménager dans des villes plus petites est apparente. Malgré les faibles taux d’intérêt et l’expansion des exigences en matière de prêts immobiliers, les prix du marché ont atteint des sommets, rendant les achats plus difficiles dans certaines régions.
Ces différents facteurs provoquent un dynamisme des prix assez élevé dans les villes bourgeoises proches des grands centres urbains. Pour satisfaire ce nouveau besoin de « déconnexion connectée », ces villes doivent être bien desservies et connectées.
la hausse des prix dans les grandes villes
Le prix de l’immobilier dans les grandes villes françaises a explosé ces dernières années. Les prix parisiens ont même dépassé le seuil symbolique des 10 000 euros le mètre carré en 2020. En dix ans, le prix du mètre carré a augmenté de 40 % à Strasbourg, 45 % à Nantes, et 48 % à Rennes.
Les deux villes qui ont connu les plus fortes hausses de prix ces dix dernières années sont Bordeaux (74%) et Lyon (67%).
Dans les grandes villes françaises, le marché immobilier se porte bien.
l’augmentation des prix au début
C’est le marché de l’ancien qui a le plus progressé, avec une fourchette de croissance de +2,1% à +7% pour 2021. Avec une hausse de +7,1% contre +6,7% pour les appartements, les maisons ont été la secteur le plus attractif de ce marché.
En revanche, les prix en Île-de-France restent constants. Même si elles croissent plus vite que les appartements, comme c’est le cas dans toute la francophonie depuis la crise sanitaire, les maisons sont tout aussi préoccupantes que les appartements.
Ainsi, le marché immobilier français continue d’être porteur et a connu quelques changements depuis la crise sanitaire.