Dans la situation actuelle, est-il encore possible d’obtenir un crédit immobilier sans effectuer de versement ? Pour certains profils, des experts du domaine ont répondu par l’affirmative à cette question. En revanche, les établissements bancaires sont plus réticents à financer des projets sans ce segment d’abonnés. Tant qu’ils veulent éviter de payer des frais.
Les apports personnels nécessaires pour obtenir un prêt immobilier en France ont sensiblement augmenté. Une maison de courtage rapporte ce constat dans une étude publiée le 7 avril 2022. Selon le réseau, les emprunteurs sont actuellement tenus de contribuer en moyenne à 52 594 €. Au premier trimestre 2021, ce montant a diminué de 23.189 EUR. Pour de nombreux profils, dont les primo-accédants, cette hausse est clairement préjudiciable.
L’accès au crédit est plus limité
La raison de cette crise est l’hypothèse que les emprunteurs seront obligés d’inscrire leurs maisons à vendre dans les 2-3 ans. Dans ce cas, il rapporterait moins de 10 % à la banque. La plus-value exigée par les institutions financières pour les apports en capital est précisée par la société de bourse.
Certes, les apports revendiqués ci-dessus ne sont qu’une moyenne. Cependant, il reflète un changement majeur dans les conditions bancaires. Et la tendance n’est pas tout à fait surprenante. Les observations faites par l’Observatoire Crédit Logement-CSA en décembre 2021 en sont la preuve.
Le groupe affirme qu’en moyenne, les apports des emprunteurs devraient être égaux à 18,5 % du coût d’achat d’un bien immobilier. Sur un an, ce pourcentage évolue de +3,5 points de pourcentage. Dans ce cas, nous prendrons l’exemple d’un bien évalué à 250 000 euros. Pour l’obtenir, les abonnés au crédit ont donc fait un don moyen supérieur à 45 000 €.
La contribution aide à satisfaire ses désirs
Un expert a souligné que pour les petits prêts, généralement inférieurs à 150 000 euros, il existe des solutions même s’il n’y a pas d’apport.
Dans le même temps, elle reconnaît que la contribution moyenne a bien été ajustée, tout comme les taux immobiliers. Cependant, il a expliqué que le rôle joué par les banques est minime. En fait, ces institutions sont étrangères aux exigences de contributions plus importantes. En revanche, les ressources financières des ménages déterminent leur capacité à emprunter, poursuit-elle :
Cependant, les prix de l’immobilier ont augmenté de 15 % et les revenus n’ont pas augmenté rapidement. Donc si je veux toujours la même superficie, les mêmes revenus, le seul levier c’est la cotisation.
Pour s’offrir le bien de leur choix, les acheteurs doivent apporter une contribution plus importante.
Cependant, les experts ont conclu que cette obligation découle de la flambée des coûts. Un agent immobilier précise que s’agissant des banques, dans neuf cas sur dix, elles continuent d’exiger au moins une commission.
Ce dernier indique que ces organisations estiment que leurs intérêts les empêchent de se permettre :
- dossier,
- notaire,
- assurance.