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La garantie PTIA

Garantie PTIA : Définition et Fonctionnement

La PTIA (Pert Totale et Irréversible d’Autonomie) est une garantie emprunteur qui accompagne l’assurance décès et est obligatoire lors de la signature d’un prêt immobilier. Cette assurance couvre l’assuré en cas de Perte Totale et Irréversible d’Autonomie consécutive à une maladie ou un accident.

Dans le cas où le PTIA empêche le souscripteur d’exercer tout emploi ou autre activité lui générant des revenus, il perçoit une indemnité pour le remboursement de son crédit hypothécaire.

Le PTIA, également appelé IAD (Invalidité Absolue et Définitive) et équivalent à la troisième catégorie d’invalidité de la sécurité sociale, est l’état de santé dans lequel une personne a besoin de l’aide d’un tiers pour effectuer les activités quotidiennes suivantes :

  • manger,
  • s’habiller et se déshabiller ;
  • se laver ;
  • se lever, se coucher et se mettre assis.

La garantie PTIA ne s’applique qu’aux personnes âgées de moins de 65 ans. Lorsque le souscripteur atteint ce seuil d’âge, l’indemnisation prend effectivement fin. C’est également le cas lorsque l’assuré exerce ses droits à la retraite.

De plus, il est important de noter que le niveau de garantie peut varier selon la compagnie d’assurance.

Plus d’exclusions

Chaque contrat d’assurance PTIA comporte une liste d’exclusions. Il s’agit d’une liste de risques dont la compagnie d’assurance n’assumera pas la responsabilité. Les informations qu’il contient varient selon l’assureur. Cependant, de manière générale, les entreprises refusent d’indemniser :

un PTIA provoqué par l’exercice d’une profession à risque (pilote, pompier, militaire, etc.) ;
un PTIA provoqué par la pratique d’un sport ou d’une activité à risque (parachutisme, équitation, karaté, surf, etc.).

Toutefois, ceux qui exercent une profession, une activité ou un sport à risque peuvent demander la mise en place d’une garantie de prêt complémentaire pour couvrir leur risque particulier. Ces derniers devront évidemment payer des surtaxes pour en bénéficier.

Coût de la Garantie PTIA

Le prix de l’assurance PTIA dépend d’un certain nombre de facteurs, notamment :

 

  • âge de l’assuré;
  • son état de santé ;
  • la quotité qui a été choisi;
  • les exclusions de garanties.
Tout savoir sur la garantie Perte d’Emploi

Que signifie l’assurance perte d’emploi pour un prêt immobilier ?

Souvent appelée assurance chômage, l’assurance perte d’emploi peut être très utile lors de la clôture d’un prêt immobilier. Malgré le fait qu’elle ait un certain nombre d’exclusions, elle pourra peut-être vous aider à couvrir une partie du remboursement des mensualités de votre carte de crédit pendant une période de temps prédéterminée. Voici un résumé qui vous expliquera le fonctionnement de la garantie perte d’emploi ainsi que les prérequis et démarches nécessaires pour y accéder.

Qu’est-ce qu’une assurance contre la perte d’emploi ?

L’un d’eux est la promesse de perte d’emploi. Cette assurance facultative peut vous être présentée lors de votre demande de prêt immobilier. Elle est très utile lorsqu’il existe un risque de licence involontaire. Elle ne peut être utilisée que dans le cadre d’une licence donnant accès aux allocations de Pôle Emploi, c’est-à-dire.

De ce fait, la promesse de perte d’emploi sera vaine en cas de suspension de permis pour faute grave. Par ailleurs, la garantie contre la perte d’emploi ne sera pas applicable en cas de démission, de rupture partielle de contrat ou de rupture conventionnelle du contrat. Seuls les salariés du CDI peuvent l’utiliser.

Toutefois, dans certaines circonstances, un employé du CDD peut adhérer à une police d’assurance perte d’emploi. Tous les prêts immobiliers, y compris les prêts à taux zéro et les prêts à taux variable, peuvent être couverts par la garantie perte d’emploi.
Il est primordial de savoir que certains frais directement liés au crédit ou à l’assurance ne sont pas couverts par la garantie perte d’emploi. C’est le cas des frais de notaire ou des frais de garantie.

Combien de temps dure l’assurance perte d’emploi ?

La durée moyenne de l’assurance contre la perte d’emploi est comprise entre un et quatre ans. Elle peut être renouvelée, le plus souvent par reconduction tacite. Une partie de vos paiements d’avoirs est couverte par l’assurance perte d’emploi pendant une période de 36 à 48 mois étalée sur la durée de votre contrat. En réalité, la plupart des compagnies d’assurance ne vous couvriront pas plus de 18 mois consécutifs. en cas de chômage. Ainsi, même s’il est encore endetté, une personne qui vient de perdre son emploi depuis longtemps (plus de 18 mois) doit commencer à faire face à l’intégralité de ses versements hypothécaires.

Cependant, si vous recevez des licences répétées, vous pouvez utiliser votre assurance plus d’une fois tant que la durée totale de ces licences reste dans le délai spécifié dans votre contrat.

Assurance de prêt, mensonges sur le questionnaire de santé, quels risques ?

L’assurance de prêt vous couvre sur une longue période tout en tenant compte des risques de maladie, d’invalidité et de décès.

L’objectif du questionnaire de santé est d’identifier les conditions d’éligibilité ou les restrictions qui peuvent s’appliquer en fonction de votre état de santé actuel, de vos ancêtres potentiels, de votre mode de vie (sans fumée) et des risques associés à votre travail ou à vos activités sportives.

Quelles sanctions sont appliquées en cas de mensonges à l’assurance ?

Toute erreur ou omission peut entraîner l’annulation de vos garanties. Parce que vous courez le risque de ne recevoir aucun service en cas de péché, le risque est important. En cas de suspicion, les assureurs peuvent vous demander de vous soumettre à des analyses de sang ou d’urine. On peut facilement arrêter un petit fumeur de la manière habituelle.

Risque d’une fausse déclaration involontaire

Il ne peut s’agir que d’une simple erreur. Dans cette situation, l’assuré doit aviser son assureur dès qu’elle se manifeste.

L’état de santé de l’assuré sera réévalué. Sans doute, la majorité des cotisations résulteront de la peine.
Si l’assureur découvre l’erreur par lui-même, il peut choisir de résilier le contrat dans les 10 jours ou de recalculer la prime en fonction du risque réel qu’il essaie de couvrir.

L’impact potentiel d’une fausse déclaration délibérée

Une fausse déclaration volontaire est une infraction grave aux conséquences lourdes puisqu’il s’agit d’une fraude à l’assurance. Le contrat sera résilié avec effet rétroactif conformément à l’article L 11 3-8 du Code des Assurances. Votre prêt est considéré comme n’ayant jamais été remboursé et les primes déjà payées sont toujours acquises à l’assureur.

L’assuré est également passible de sanctions pénales. L’assureur peut déposer une réclamation pour fraude, usage de fraude ou espionnage. Les peines pourraient aller jusqu’à cinq ans de prison et 375 000 $ d’amende.

Peut-on se rassurer suite à une fausse déclaration ?

Sachant que l’assurance est une nécessité pour l’obtention d’un prêt, l’échec du contrat peut entraîner l’annulation du crédit immobilier. L’emprunteur est alors tenu de rembourser le capital et les intérêts spécifiés dans le contrat.

Typiquement, l’établissement prêteur laisse le temps à l’emprunteur de souscrire à un nouveau contrat d’assurance. Puisqu’il sera nécessaire de discuter des causes du rejet de l’assurance précédente, les procédures peuvent être difficiles.

Crédit immobilier : ce qui change pour les emprunteurs le 1er juillet

Un coup de boost pour les emprunteurs

Le taux d’intérêt sera relevé de 0,15% à 0,20% à compter de ce vendredi 1er juillet, pour inciter les ménages à acheter un bien immobilier malgré l’inflation.
Bonne nouvelle pour les futurs propriétaires. Le taux d’intérêt le plus élevé qu’une banque peut prêter à un particulier augmentera à compter du vendredi 1er juillet d' »environ 15 à 20 points de base », selon la Banque de France, qui l’a annoncé mardi dans le magazine Le Parisien, Le 27 juin. Ainsi, le taux passera de 2,40% à 2,55% voire 2,60% pour les prêts d’une durée de vingt ans ou plus. Il sera de 2,58% ou 2,63% pour les prêts entre 10 et 20 ans (contre 2,43% aujourd’hui).

Le ministère de l’Économie et des Finances a confirmé lundi 27 juin à Capital, malgré les demandes répétées du tribunal, que le mode de calcul du taux d’intérêt ne serait pas modifié à compter du 1er juillet. Le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) avait déclaré à la conclusion de sa réunion trimestrielle selon laquelle « nous n’observons aucune circonstance exceptionnelle sur le marché du crédit qui justifierait une telle révision des taux d’intérêt.

Le personnel du tribunal tire la sirène d’alarme.

Rappelons que le taux d’incertitude est basé sur la moyenne des taux de croissance du crédit aux ménages du trimestre précédent, majorée d’un tiers. Pourtant, les courtisans tirent la sonnette d’alarme depuis quelques mois.

En conséquence, un nombre croissant d’emprunteurs restent à l’écart du marché du crédit immobilier en raison du système d’usure, qui vise à protéger les ménages du surendettement.

Cependant, les banques elles-mêmes ont considérablement augmenté leurs taux d’emprunt. Selon l’Observatoire Crédit Logement CSA, le taux d’intérêt moyen pour tous les types de prêts a atteint 1,38% en mai, soit une hausse de 10 points de base en un mois. Les taux sont de 1,55% pour les 20 ans et plus et de 1,7% pour les 25 ans et plus en juin.

Avoir une piscine fait-il vraiment augmenter la valeur de votre maison ?

Augmenter le prix de sa maison grâce à une piscine

Décidément, les piscines ont la cote auprès des Français. La Fédération des professionnels de la piscine et du spa rapporte que le seuil des 3 millions de piscines en France sera dépassé d’ici fin 2021. (FPPS). Le prix d’un bien augmente généralement de 16% lorsqu’une piscine est construite, bien que la valeur ajoutée varie en fonction de l’emplacement de la maison. Par exemple, une maison de 95 pieds carrés avec un prix médian au pied carré de 2 436 euros verra généralement une augmentation de valeur de 41 887 euros lorsqu’elle dispose d’une piscine.

Si vous vivez dans une zone de villégiature, vous utiliserez moins d’énergie pour jouer que vous ne le feriez dans d’autres parties du monde.

Une piscine fait grimper le prix d’un logement de 12,7% contre une augmentation moyenne en France de 16%. Cette relation de plus-value moins intéressante s’explique par la proximité de la mer dans ces zones. Un autre facteur justifiant cette influence moins importante sur les prix est la plus grande disponibilité de biens avec piscine dans les zones de villégiature (+5,2% contre +2,3% hors zones de villégiature).

Les maisons à proximité de la mer

Mais gardez à l’esprit que les conditions météorologiques ont également un rôle à jouer. L’effet le plus fort du pool se fait sentir dans les régions les plus ensoleillées, où les prix des biens augmentent de 17,5 %. Qu’il s’agisse ou non de stations thermales. Sachez que si vous habitez en copropriété, la valeur de la piscine diminue avec le temps car elle est partagée par d’autres résidents.

Les frais de construction et d’entretien ont été assumés par l’ensemble des copropriétaires, il génère donc toujours un profit. Un appartement avec piscine ne coûtera que 8,4% de plus qu’un bien similaire sans piscine, alors qu’une maison avec piscine coûtera 18% de plus qu’une maison sans piscine. « Nous donnons l’exemple d’un appartement de 75 m2 avec un prix moyen de 3917 €/m2. Il verra une augmentation de valeur de 24.600 euros.

Hausse du prix des loyers ?

Plutôt que l’augmentation prévue de 5 % des salaires, il y a eu une augmentation de 3,5 % au cours d’une année.

Le gouvernement annoncera lundi 27 juin que les augmentations de salaire seront plafonnées à 3% jusqu’en juin 2023. Autrement dit, même si l’Indice de Référence du Travail (IRL) affiche un taux supérieur à cela, le taux d’augmentation de les salaires ne peuvent excéder 3 %.

Rappelons que l’IRL permet aux propriétaires dépositaires d’augmenter le salaire de leurs locataires une fois par an, à la date anniversaire de la signature de la caution. Étant donné que le taux d’inflation est calculé comme la moyenne au cours des 12 derniers mois des variations des prix des biens de consommation autres que le tabac et des salaires, il est raisonnable de supposer qu’avec le taux d’inflation actuel, la variation annuelle serait nettement supérieure à la actuel 3,5%.

Depuis la fin de l’année 2021, une obligation IRL est en place. Par exemple, l’indice du premier trimestre de l’année 2022 a augmenté de 2,48 % par rapport au premier trimestre de 2021. L’augmentation équivaut à environ 15 euros pour un salaire de 600 euros. De plus, cela représente une augmentation de +1,61% par rapport au trimestre précédent. Par rapport au premier trimestre 2020, la variation n’était que de 0,09 % au premier trimestre 2021. (source : INSEE).
En accord avec les propriétaires fonciers, les huissiers et les groupements de quartier, le gouvernement a décidé de plafonner cette augmentation en prévision d’une inflation équivalente à environ 5 % et d’une « flambée des salaires ». Ce « bouclier loyer », dans la lignée du « bouclier énergétique », entend lutter contre cette inflation persistante.

Le ministre français de l’Economie, des Finances et de la Réconciliation, Bruno Le Maire, a prédit que les niveaux d’inflation pourraient monter à +6%. Le bouclier empêchera toute augmentation par rapport au taux fixé par l’État s’il est maintenu pendant un an.

Si la demande de l’association CLCV pour une augmentation de salaire à compter du 1er juillet n’aboutit pas, une augmentation de salaire pour une année entière a été acceptée.

Cette augmentation mesurée aura également pour effet de restreindre le pouvoir d’achat des propriétaires, tandis que les habitants verront augmenter de 3,5 % la valeur de leur aide individualisée au logement (APL).

3,5 % d’APL supplémentaires sont versés.

L’objectif de Bruno Le Maire, qui a annoncé une augmentation de 3,5% des APL pour compenser la hausse des salaires, est de « protéger ceux qui ont le plus de difficultés : les ménages, les jeunes et les familles qui en ont le plus besoin ».

Près de 7 millions d’allocataires en France contribuent pour un total de 16,8 milliards d’euros d’aides au logement (source : Vie Publique).

Si l’augmentation de l’APL est exigée de tout cessionnaire, l’augmentation de salaire n’est ni une obligation ni une recommandation pour les huissiers.

Sont également prévus une seconde hausse du taux de rachat du Livre A en août 2022, qui avait déjà doublé en février 2022 (de 0,5% à 1%) et la potentielle suppression du taux d’impayé (désormais à 138 euros par an) .

Le bouclier loyer est inclus dans le projet de loi de réforme financière qui a été discuté ce matin au Conseil National du Logement (CNH) et sera examiné par le Parlement cet automne. Le gouvernement promet d’avoir choisi une « solution équilibrée » entre propriétaires et riverains. Fin 2021, un lien IRL était effectivement visible. Par exemple, l’indice du premier trimestre de l’année 2022 a augmenté de 2,48 % par rapport au premier trimestre de 2021. L’augmentation équivaut à environ 15 euros pour un salaire de 600 euros. De plus, cela représente une augmentation de +1,61% par rapport au trimestre précédent. Par rapport au premier trimestre 2020, la variation n’était que de 0,09 % au premier trimestre 2021. (source : INSEE).

Le marché du logement, hausse du prix des maisons

Une nouvelle hausse des prix des maisons

Une nouvelle hausse des prix des maisons et des appartements marque la fin du premier semestre. Il s’agit peut-être de la dernière poussée de l’année.

Tout porte à atteindre un plafond. Le marché a une nouvelle fois battu des records avec des prix en hausse d’environ 7,4% sur un an pour les appartements et de 10,7% sur un an pour les maisons au premier semestre. Selon les données semestrielles du réseau publiées lundi, le niveau des prix est actuellement tel que le volume des ventes a commencé à baisser sensiblement.

Pour les maisons, les transactions baissent d’environ 8 % par an, tandis que pour les appartements, elles n’augmentent guère de plus de 1,7 %. A cause du niveau des prix. Dans de plus en plus de villes, ils deviennent prohibitifs. Il faut donc que les vendeurs soient moins indulgents pour que le marché se redresse. De plus, il est évident que le retour à une forme de « raison » à Paris a provoqué une recrudescence des ventes. Ils augmentent de plus de 17% au cours d’une année suite à un mois de baisse des prix dans la ville. Par conséquent, il semble inévitable que les prix augmentent à l’échelle nationale à court et à moyen terme. En raison du fait que les acheteurs sont également confrontés à un resserrement des exigences de crédit et à une hausse des taux d’intérêt.

Chutes d’investisseurs

Le meilleur exemple en est la façon dont les achats des investisseurs ont changé au fil du temps. Il a fallu quatre ans pour que la part des investissements locaux progresse de manière fulgurante. Et c’est le déclin, notamment à Paris et en Ile-de-France. À Paris, le pourcentage d’achats effectués à des fins locatives a diminué à environ 26 %, soit 18,5 % de moins qu’il y a un an. A l’échelle de l’Ile-de-France, on note une baisse de 24 %, soit une baisse de 9 % par an.

Une étude met en lumière la hausse des taux d’intérêt, les différentes augmentations de salaires, et la nouvelle réglementation de la passivité thermique. Sans compter les restrictions imposées par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) sur les taux d’intérêt.

De plus, prenez note que le Haut Conseil tiendra une réunion cet après-midi où ils en discuteront probablement.

Investir devient clairement de moins en moins rentable et de plus en plus coûteux. Et c’est sans compter les restrictions à la hausse des salaires que le gouvernement entend mettre en place dans le cadre de sa loi sur le pouvoir d’achat.

Les maisons ont enflammé le marché immobilier dans le passé

Selon les dernières statistiques du réseau en France, le prix des maisons dans ce pays a alimenté le marché immobilier au cours des douze derniers mois, franchissant la barre des 2 500 euros le pied carré. Ainsi, au cours des douze derniers mois, le rythme des ventes sur ce segment de marché a diminué de plus de 8 %.

Augmentation continue des ventes d’appartements

En conséquence, la hausse du prix des logements en France s’est fixée à 10,7% et s’est répercutée sur les acomptes acquéreurs, qui n’ont « jamais été aussi élevés, soit 290 654 ». La région Provence-Alpes-Côte d’Azur a connu la croissance des prix la plus rapide sur l’année écoulée, soit +15,5% pour le prix mensuel moyen d’une maison, qui est actuellement fixé à 4 270 euros. En revanche, l’Auvergne-Rhône-Alpes et la Bourgogne-Franche-Comté connaissent des hausses plutôt modérées (autour de 7 %).

A l’inverse, le volume des ventes reste orienté à la hausse pour le marché de l’ancien, soit +1,7% par an. Mais les prix y ont aussi sensiblement augmenté, de 7,4 %, pour un coût d’achat très proche de 241 000 euros.

Une baisse des prix pour 2022 ?

Même si les prix pourraient baisser en 2022, l’explosion des prix est encore derrière nous. En effet, un ralentissement est en cours, plus prononcé sur le marché des appartements que sur le marché du logement pour les maisons, où l’intérêt des Français est toujours élevé.

En conséquence, l’activité a augmenté au premier semestre 2022, et cela a été plus prononcé sur le marché des appartements que sur le marché des maisons, où le rééquilibrage des prix est moins important.

L’activité reprend à Paris.

Le marché parisien s’est comporté à contre-courant des tendances nationales. Là-bas, le prix au mètre carré est resté stable, ce qui a stimulé l’activité du marché immobilier, où les ventes ont augmenté de 17,3% par an.
De même, l’allongement des périodes de soldes dans la Capitale conduit à des niveaux jamais vus. Enfin, en Ile-de-France, ce sont les maisons qui ont appuyé sur la gâchette. Leur prix moyen au mètre carré a atteint des records, soit 3 736 euros, avec un prix d’achat moyen correspondant record pour une maison française, soit 424 473 euros.