Trouvez le bon tarif !

Quels sont les frais de copropriété pour un bien immobilier ?

Qu’elles soient générales ou particulières, les charges de copropriété ont un prix. Ils sont essentiels et sont calculés en fonction de plusieurs critères.

Un immeuble qui appartient à plusieurs propriétaires différents est considéré comme une copropriété. Il s’agit généralement d’un immeuble à appartements, mais il peut également s’agir d’une maison individuelle appartenant à un groupe ou d’une maison divisée en plusieurs unités. Quelle que soit sa forme, qu’elle soit constituée de deux lots seulement, de plusieurs dizaines ou de centaines, elle doit être gérée par un syndicat de copropriété. L’un des copropriétaires peut se porter volontaire pour s’occuper de toutes les tâches, mais le plus souvent, il s’agit de syndics de professionnels de la copropriété puisqu’une telle gestion demande de solides connaissances, notamment sur le plan juridique. Dans toutes les situations, les copropriétaires sont tenus de payer des frais à ce syndicat. Ces frais, qui peuvent être réguliers ou ponctuels, sont destinés à couvrir les frais d’entretien du bâtiment et les éventuelles réparations nécessaires. Le montant dû par chaque copropriétaire varie en fonction de sa quote-part, ou de l’importance de sa participation dans la copropriété, ainsi que de la nature des honoraires.

Les charges générales de copropriété

Les charges générales regroupent plusieurs éléments à l’intérieur d’une copropriété. D’abord et avant tout, il y a les coûts associés à la gestion de la propriété. Parmi ceux-ci, les principaux sont l’indemnisation du syndicat de copropriété ou les frais liés à la tenue de l’assemblée générale annuelle. Aux frais généraux s’ajoutent également l’entretien courant de l’immeuble, à commencer par la taxe d’enlèvement du matériel de direction ou le nettoyage des parties communes. De plus, l’un des aspects les plus cruciaux de l’existence d’une copropriété est la gestion collective des parties. Le budget des copropriétaires peut également être dépassé par des charges générales mais exceptionnelles. Même si des travaux aussi importants sont souvent prévisibles à l’avance, la réfection d’un WC ou le ravage d’une façade rentrent dans cette catégorie de frais exceptionnels. Chaque copropriétaire doit contribuer à hauteur de sa quote-part des parties communes au paiement des frais généraux. Il utilise une unité de mesure spécifique appelée le tantième. Par conséquent, si un copropriétaire est copropriétaire à 10 % des fractions des parties communes, il devra s’acquitter de 10 % des redevances annuelles générées.

Les frais d’affectation spéciale

Un autre facteur de coût à considérer est les frais supplémentaires. Ils sont répartis en deux catégories : les services collectifs et les équipements communs. Un système de sécurité, des services de nettoyage ou l’embauche d’un gardien d’immeuble sont des exemples de services collectifs dont peuvent bénéficier les copropriétaires. En termes d’équipements partagés, une chaudière collective ou un ascenseur sont les plus populaires. De plus, des frais exceptionnels peuvent s’y ajouter. Par exemple, si la chaudière s’enflamme soudainement, des coûts inattendus et inévitables en résulteront. Les choses sont un peu différentes qu’avec les charges générales lorsqu’il s’agit de payer des charges spéciales. En réalité, la question n’est pas entre guillemets, mais plutôt l’utilité objective. Certaines installations peuvent ne pas être utilisées par tous les copropriétaires de la même manière. Un résident du rez-de-chaussée n’aura pas à payer l’ascenseur à moins qu’il ne donne accès au sous-sol de l’immeuble ou à une place de stationnement. Afin que personne ne soit exclu de ce délicat processus de répartition des charges, la répartition précise des charges particulières dues par chaque copropriétaire doit être déterminée lors de l’assemblée générale.

Le paiement des charges de copropriété

Chaque année, le syndicat de copropriété établit un budget prévisionnel. Cela comprend à la fois les frais généraux et les frais spéciaux, ainsi que les travaux à effectuer ou les équipements à budgétiser au cours de l’année. Chaque copropriétaire est tenu de s’acquitter d’un montant spécifique de redevances conformément à ce budget, le paiement étant souvent effectué trimestriellement. En cas de charges extraordinaires non prévues, l’assemblée générale permet de déterminer la part de la dette de chaque copropriétaire, le syndicat de copropriété se chargeant d’en informer les autres copropriétaires. Sachez qu’un copropriétaire peut intenter une action en justice s’il croit avoir été lésé et que les allégations portées contre lui sont trop graves. Une action nécessaire puisque le défaut de payer les frais de copropriété au syndicat de copropriété pourrait avoir de graves répercussions juridiques et entraîner frais supplémentaires (court, huissier, hypothèque).

Quelles sont les alternatives de sécurité énergétique ?

Afin de lutter contre la précarité énergétique, le gouvernement a mis en place un certain nombre de programmes qui aideront les ménages qui ont du mal à payer leurs factures

Les ménages qui manquent de ressources financières ou d’un logement adéquat pour couvrir le coût de l’énergie nécessaire à leurs besoins de base – se laver, cuisiner et se chauffer – sont dits en situation de précarité énergétique. La définition de la précarité énergétique par l’Onpe (Observatoire National de la Précarité Energétique) repose sur un certain nombre de critères, dont le taux d’effort énergétique (TEE), l’indicateur de bas revenus et de fortes dépenses (BRDE), et l’expérience du froid ouvert.

Financer la lutte contre la précarité énergétique

En premier lieu, les ménages en situation de précarité énergétique peuvent se tourner vers l’énergie à carreaux. L’Etat envoie ce chèque une fois par an. En 2022, selon les revenus des ménages, le chèque énergie proposera aux Français ayant des factures énergétiques excessives entre 48 et 277 euros. Chaque foyer en situation de précarité énergétique ayant eu des revenus déclarés aux impôts l’année précédente s’est vu adresser automatiquement ce chèque. Il fonctionne avec n’importe quel type d’énergie. Le montant du chèque énergie de préaffectation peut être directement déduit de la facture énergétique d’un ménage en en faisant la demande.

En plus du gouvernement, les citoyens sont encouragés à lutter contre la précarité énergétique en faisant de petits dons à leur consommation d’énergie. L’idée est que chacun choisit un certain nombre de centimes par kilowattheure à donner au Fonds de solidarité énergétique, qui distribue ensuite l’argent récolté à des organismes qui soutiennent les ménages en situation de précarité énergétique.

La lutte contre la précarité énergétique s’accompagne d’améliorations environnementales plus économes en énergie.

Le coût de l’énergie ou les faibles revenus ne sont pas les seuls facteurs contribuant à la précarité énergétique. Fréquemment, le coût d’entretien d’un appartement est élevé car l’isolement est médiocre, vétuste ou inexistant. Ainsi, l’État agit pour lutter contre la précarité énergétique en encourageant les aides financières destinées à renforcer l’efficacité énergétique d’un logement. Plusieurs programmes peuvent être combinés selon les fonds et les projets envisagés :

  • Habiter Mieux, de l’Anah (Agence Nationale de l’Habitat) ;
  • MaPrimeRénov’ ;
  • taux de TVA réduit pour le projet ;
  • écoprêt…

Ces programmes d’aides s’adressent non seulement aux propriétaires de leur logement mais également aux allocataires sociaux qui bénéficient également d’une réduction de la taxe foncière sur les biens immobiliers. L’encouragement à la rénovation énergétique coopérative passe notamment par l’accès des groupements de copropriétaires à MaPrimeRénov et au programme France Relance.

Votre propriétaire peut-il garder deux jeux de clés de votre logement ?

Lorsqu’un propriétaire loue un bien, il ne l’utilise plus, mais il continue d’être la propriété du propriétaire. Le droit de conserver un jeu de clés supplémentaire a-t-il déjà été établi ?

Un propriétaire confie à un locataire l’usage et l’entretien d’un bien pendant sa mise en location. Il est nécessaire de fournir un logement décent qui ne mette pas en danger la santé ou la sécurité de l’occupant. Cependant, le propriétaire conserve également certains droits sur l’appartement ou la maison qui lui appartient. Alors, peut-il garder un jeu de clés de rechange et entrer dans cet appartement quand il veut ? Découvrez les lignes directrices pour ce sujet potentiellement litigieux.

Un propriétaire peut-il conserver un jeu de clés de rechange ?

Votre propriétaire a le droit légal de garder les clés de votre résidence spécifique. Rien à ce sujet n’est précisé dans la loi. On pense donc qu’un huissier peut conserver un duplicata en l’absence d’injonction formelle. Il lui est cependant conseillé d’en informer l’agent de cautionnement lors de la signature de la caution afin d’éviter toute mauvaise surprise. Les conflits futurs peuvent être évités par un accord écrit entre les deux parties.

Déléguer un jeu de clés à votre propriétaire peut vous éviter d’avoir recours aux services d’un serrurier (à vos frais) en cas de perte des vôtres, vous pouvez également appeler votre propriétaire pour obtenir de l’aide dans les plus brefs délais.

Et rien ne vous empêche de changer les serrures ou la poignée de porte pendant la durée de votre caution si vous souhaitez que votre propriétaire ne puisse pas entrer dans votre logement. Il vous suffit de laisser votre maison dans le même état que vous l’avez trouvée. Cela signifie que tout ce que vous avez à faire est de remplacer les serrures d’origine.

Le droit d’entrer dans la maison de location d’un invité a-t-il été accordé ?

Si un propriétaire détient les clés de votre appartement, il n’a aucune autorisation d’entrer sans votre accord. Si tel est le cas, vous avez le droit de porter plainte contre lui pour atteinte à votre vie privée. Il encourt un an de prison et 15 000 € d’amende pour ses actes.

Cependant, il peut demander l’accès à votre logement pour diverses raisons, comme un projet de travaux de rénovation ou d’amélioration ou encore un contrôle de l’entretien de son bien. Dans cette situation, il est préférable d’inclure dans le cautionnement une phrase décrivant la fréquence de ces visites (une fois par an par exemple). Et si le propriétaire souhaite que quelqu’un vienne voir le bien pour le vendre ou le louer, il doit respecter certaines règles (entre le lundi et le samedi, pas plus de deux heures par jour), et il doit obtenir votre autorisation si vous ne sont pas présents.

Ces taxes foncières qui coûtent le plus cher aux propriétaires

En 2021, le logement a rapporté plus de 90 milliards d’euros à l’État et aux collectivités locales pour seulement 38 milliards. Record de vente positif !

Le sujet fiscal qui est désormais sur toutes les lèvres est celui des propriétaires immobiliers.

La promulgation de la taxe foncière fait grincer des dents. Bercy avait bien l’intention de la coiffer avant de finalement faire machine arrière, sous l’impulsion des collectivités. A la tête de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi), il demande au gouvernement de revoir sa position. Les propriétaires ont une perception très négative de votre comportement. Il est impératif que vous découvriez un moyen d’empêcher une certaine (sur)explosion en 2023. Les investisseurs se réjouissent », a déclaré Christophe Demerson, président de l’Unpi, dans une lettre obtenue par Le Figaro. L’entourage de Bruno Le Maire rétorque, « Qu ‘ils aillent voir leurs élus locaux !’, en réponse aux propriétaires mécontents. Les collectivités choisissent elles-mêmes les taux d’imposition.

Par ailleurs, la taxe foncière, dont se sont acquittés 32 millions de cotisants, représente une sacrée aubaine pour l’Etat et les collectivités.

En fait, c’est la taxe foncière qui a le plus d’impact sur les budgets publics. En 2021, plus de 24 milliards d’euros ont été avancés grâce à lui, selon le dernier rapport sur la comptabilité du logement. Le prochain groupe à remplir les caisses de l’État à plus de 16 milliards d’euros sont les droits de mutation à titre illicite (DMTO) , parfois appelés, par erreur, « frais de notaire ». C’est 8 milliards de moins.

Prêtés mais certains, les droits de modification grignotent leur retard : En 2021, ils sont majorés de plus de 25% contre « seulement » +2% pour l’impôt sur le revenu du fait d’un nombre record de transactions (près de 1,2 million) et des prix constamment élevés. Avant 2022, le scénario restera le même. Cependant, probablement pas en 2023. Selon le rapport du Congressional Budget Office, l’impôt fédéral sur le revenu devrait continuer à augmenter de 6 à 7 %. En revanche, moins de ventes immobilières sont prévues en 2023. Et donc, des droits mutationnels également. De quoi inquiéter les collectivités locales et Bruno Le Maire, qui reste « très attentif » à la disponibilité du crédit, moteur régulier du marché immobilier. Avec 13,2 milliards d’euros de recettes, la TVA complète le top trois des taxes foncières les plus pénalisantes sur les budgets publics. Dans la rubrique, il est révélé que la taxe d’habitation, qu’Anne Hidalgo veut voir multipliée par « au moins 4 », n’a versé qu’un montant familial de 115 millions d’euros aux caisses publiques en 2021.

Le logement a généré plus de 90 milliards d’euros au total pour l’État et les collectivités locales

(après soustraction de la taxe d’habitation, qui est comptabilisée comme un impôt national sur le revenu et sera totalement supprimée en 2023). Christophe Demerson affirme qu’un nouveau dossier confirme le « matraquage fiscal » contre les propriétaires. De plus, il démontre à ses détracteurs que le loyer est plus qu’un simple coût. La preuve numérique est que lorsque les impôts augmentent, l’aide diminue de près de 38 milliards d’euros. C’est donc une vente positive massive de 52 milliards d’euros !

Doit-il résilier son crédit immobilier en période d’inflation ?

Résilier son crédit

Quand on a des liquidités, on peut essayer de vouloir se séparer de son crédit immobilier. Mais en période d’inflation, le conserver pourrait être plus avantageux.
Même dans un environnement économique difficile, des rendements monétaires importants sont toujours possibles à l’appui d’une prime, d’une vente immobilière ou d’un héritage. Dans une telle circonstance, la première réaction pourrait être de vouloir régler des dettes, le crédit immobilier venant en tête. Cependant, certains analystes interrogés par Les Échos affirment que ce n’est pas nécessairement la meilleure ligne de conduite en période de forte inflation. En théorie, un remboursement par anticipation est une bonne idée car cela fait baisser le coût global du crédit.
Surtout si l’emprunteur a réussi à négocier la suppression de l’indemnité de remboursement anticipée. Cela me permet d’épargner cette somme.

Crédit de protection immobilière

Cependant, de nombreuses lignes de crédit actives ont bénéficié des taux d’intérêt exceptionnellement bas de ces dernières années. On note qu’il ne faut jamais ignorer l’impact du resserrement du crédit dans des circonstances où les taux d’intérêt sont toujours compétitifs, même s’ils augmentent. De plus, il permet une expulsion « forcée » et la création d’un futur patrimoine immobilier. De plus, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de mensualité sont utilisées pour rembourser le capital plutôt que les intérêts solde dû.

Crédit immo : sera-t-il plus facile d’emprunter après le 1er octobre prochain ?

Le taux d’usure

Le taux d’intérêt maximum auquel les banques prêteront sera mis à jour le 1er octobre, malgré le fait que de nombreuses demandes de crédit immobilier sont rejetées à cause de ce taux. Et certains rapports mentionnent un écart important.
Les prêteurs hypothécaires s’organisent pour faire pression sur la Banque de France. L’un des principaux syndicats professionnels, le Syndicat des intermédiaires de crédit, demande une manifestation ce mardi matin prochain devant l’établissement.
Objectif : persuader la Banque de France, qui doit effectuer un paiement en moins de deux semaines, de relever suffisamment le taux d’intérêt pour permettre le déblocage de plusieurs demandes de crédit en attente. Et sur la base de nos conclusions, il est possible que les avocats, les banquiers, les notaires et les professionnels de l’immobilier reçoivent finalement une agréable surprise.

Une chose est sûre : le 1er octobre, tous les acteurs de l’immobilier recevront un coup d’oxygène. Mais il y a quelques jours à peine, des professionnels du secteur, notamment des avocats, exprimaient des doutes sur une augmentation significative du taux de chômage. Par ailleurs, la Banque de France a déclaré qu’elle ne modifierait pas sa méthode de calcul. Quelle que soit la situation, tout le monde anticipe la baisse du taux d’intérêt que décidera la Banque de France. Ce taux maximum auquel les banques sont autorisées à prêter n’augmente pas aussi rapidement que les taux du marché, ce qui pousse de nombreux ménages à faire défaut sur leur dette.

3% ou moins ?

Ce taux d’assurance, qui tient compte du taux d’emprunt ainsi que des frais d’assurance et de dossier, a été plafonné à 2,57 % au cours des trois derniers mois pour les prêts hypothécaires d’une durée de 20 ans ou plus. Il devrait cependant augmenter significativement le mois prochain. La Banque de France s’étant dite satisfaite de la formule mathématique, il semblerait que cette formule puisse être modifiée en tenant compte de statistiques plus récentes ou plus anciennes. Pour rappel, le taux d’utilisation est déterminé chaque trimestre à partir des taux d’effectifs médians constatés au cours du trimestre écoulé, majorés d’un tiers. Il pourrait y avoir une baisse du marché en cas de forte hausse des taux, comme c’est le cas depuis plusieurs mois.

Selon une source fiable et proche de l’institution, le prochain taux de chômage pourrait atteindre 3 %. Une autre source fiable confirme qu’une hausse allant jusqu’à 45 points de base (0,45 point de pourcentage) est attendue. Ce qui nous amènerait alors à 3,02 %. Nous dépasserions donc ce seuil symbolique de 3 %. C’est bien mieux que ce que les professionnels de l’immobilier actuels avaient prévu.

Selon un avocat, à un tel niveau, il n’y aurait essentiellement pas de refus de prêt fondés sur le risque de crédit étant donné les taux que les banques pratiquent déjà. En tout cas, au début. En raison des politiques des banques centrales et de la persistance de l’inflation, les banques vont inévitablement continuer à croître.

L’évolution des prix de l’immobilier au cours des dix dernières années

Vous voulez savoir comment l’immobilier a changé au cours des dernières années. Quelles étaient les villes les plus fréquentées et celles avec les lignes de peloton les plus longues ? Nous discutons avec vous du marché immobilier depuis 2010.

L’évolution des prix en France au cours des dix dernières années

Selon l’Insee, le prix des logements a augmenté de 22 % en France au cours des dix dernières années. Cette augmentation touche tous les quartiers de la métropole et tous les types de logements (maisons et appartements, logements neufs et immobilier ancien).

Cette augmentation au cours des dix dernières années n’est pas linéaire. En effet, le marché immobilier a connu un repli après 2011 avant de renouer avec la croissance. Depuis, la croissance ne s’est pas arrêtée.

Le marché immobilier n’a jamais été aussi dynamique. L’année dernière, il y a eu plus d’un million d’achats, battant le précédent record du nombre de transactions. Malgré le fait que certaines villes et régions se démarquent, les prix augmentent généralement.

Les villes phares en progrès

(Nos chiffres sont tirés de la note de conjonction des notaires français.)

Paris
Le prix au pied carré des appartements dans la capitale française a augmenté de 56% au cours des dix dernières années. Le prix moyen parisien du mètre carré a même dépassé les 10 000 euros. Jamais vu avant!

Bordeaux
Les plus belles progressions de ces dix dernières années ont été menées par la capitale mondiale du vin. En effet, le prix des appartements a augmenté de 73,97 %, passant de 2 489 $ le mètre carré en 2010 à 4 330 $ en 2015.

Lyon
Le prix du mètre carré dans la capitale des Gaules augmente de 67,03 % en moyenne au bout de dix ans, passant de 2 752 euros à 4 600 euros.

Rennes
Pour trouver la quatrième ville la plus dynamique, il faut se rendre en Bretagne. Rennes connaît en effet une augmentation de 48,38% entre 2010 et 2020.

Nantes
La ville des Ducs de Bretagne, Nantes, n’est pas trop loin de Rennes. Avec une hausse de 44,90%, elle prend la cinquième place.

Strasbourg
Le prix du strasbourgeois a sensiblement augmenté de 40 % passant de 2 100 euros le mètre carré en 2010 à 2 940 euros aujourd’hui.

Les villes les moins dynamiques

La même implication des prix n’a pas été constatée sur l’ensemble du territoire français. Certaines villes ont même connu un recul par rapport à 2010.

Saint Etienne est dans la file d’attente du classement après avoir connu une baisse de prix de près de 25 %. Toulon suit la liste avec une baisse d’environ 6% entre 2010 et 2015. Les prix de ces deux villes sont les mêmes depuis cinq ans.

D’autres villes sont au même stade qu’en 2010. Dijon, Grenoble, Metz, Orléans en sont des exemples.

Enfin, Limoges et Caen ont connu une sévère récession en 2015 mais ont su inverser la tendance au cours des cinq dernières années. Cela leur permet de sortir de la crise avec une modeste augmentation comprise entre 2% et 5%.

La fluctuation des prix sur le marché local

Concernant le marché local, la rentabilité a fortement baissé. En fait, le coût du mètre carré a augmenté bien plus vite que les salaires. A Bordeaux, par exemple, les prix de l’immobilier ont augmenté de 70% alors que les salaires mensuels n’ont augmenté que de 6%.

Les trois plus grandes villes françaises, Montpellier, Lyon et Marseille, sont classées premières, avec des taux de croissance des salaires de 6,72 %, 6,31 % et 5,13 %, respectivement.

En conséquence, le marché immobilier s’est globalement développé au cours des dix dernières années, même si de nombreuses inégalités sont encore à noter dans le monde francophone.

Où investir en France ?

D’une manière générale, investir dans l’immobilier local est avantageux. Cependant, il y a des risques encourus : des vacances locales, un loyer impayé et un problème avec le retour. Comment puis-je augmenter ma rentabilité locative ? La ville dois-je choisir ?

Paris

Même si les prix du marché ont moins augmenté ces derniers temps qu’ailleurs en France, investir à Paris reste une valeur sûre.

En effet, la demande de services de proximité est forte et le taux de rentabilité local moyen est de 5,2 %. Le risque de ne pas être payé est d’environ 1,3 %, ce qui est comparable à la moyenne française.

Considérez la banlieue française, est notre conseil. Avec ses 200 kilomètres de réseau et ses 68 nouvelles gares, le projet du Grand Paris permettra aux villes moyennes de se désenclaver.

Bordeaux

Bordeaux est l’une des villes françaises avec les plus beaux incendies immobiliers. Par conséquent, investir à Bordeaux nécessite un minimum d’argent. Cependant, des salaires plus élevés permettent une meilleure rentabilité locale, de 6,6 % en moyenne.

Il y a une forte demande de logements là-bas, ce qui réduit la probabilité de vacances mal placées.

Notre recommandation est de penser à investir dans les quartiers étudiants ou dans de nouveaux programmes qui offrent des avantages pour l’évolutivité.

Grenoble

Grenoble est une ville très attractive pour l’investissement immobilier en raison de ses prix abordables, de sa population étudiante dynamique et de son économie robuste. Puisqu’il dépasse les 7,2%, son taux de rentabilité est bon.

Cependant, le risque de vacances locales est supérieur au risque national moyen.

Notre recommandation est de faire des investissements dans des propriétés meublées à proximité des institutions académiques.

Lille Lille est une ville étudiante dynamique au cœur de l’Europe. Le besoin d’hébergement y est assez grand.

Cependant, la hausse des coûts d’achat au cours des dernières années a réduit la rentabilité brute.

Notre recommandation est de vérifier les quartiers proches des gares Lille Europe et Lille Flandres, qui sont proches du centre-ville et offrent une variété d’options de transport.

Lyon

La ville de Lyon a beaucoup d’atouts, notamment une importante population étudiante, la proximité de Paris, de l’Italie et de la Suisse, et un environnement économique florissant.

Lyon est un havre immobilier précieux malgré un taux de rentabilité local modeste (3,3%).

Notre conseil est de vous renseigner sur les prix de l’immobilier dans les environs, notamment à Villeurbanne.

Marseille

Le marché marseillais a des prix très raisonnables, permettant une bonne rentabilité d’environ 6,6%. Le risque de ne pas être payé est un peu plus élevé que la moyenne nationale.

Notre conseil est d’étudier chaque quartier marseillais comme un marché distinct.

Montpellier

Montpellier s’annonce comme l’un des meilleurs investissements locaux. En effet, le prix d’achat moyen au mètre carré est inférieur à 3 000 €. De nombreuses entreprises en démarrage et des étudiants sont attirés par la ville. Il y a 18 parcs d’activités, y compris de grandes entreprises comme IBM et Sanofi.

Après la crise sanitaire, Nantes est devenue l’une des villes les plus désirables. De ce fait, les prix ont sensiblement augmenté, mais la rentabilité est toujours favorable (environ 6%).

Notre recommandation est de rechercher le bâtiment du futur CHU sur l’île de Nantes, qui peut présenter de belles opportunités de relocalisation.

Rennes

Les prix du marché de Rennes ont considérablement augmenté, mais la ville présente toujours d’excellentes opportunités d’investissement en raison de son taux de vacance local extrêmement bas.

Étudier les quartiers étudiants comme Beaulieu et Villejean-Beauregard, c’est notre conseil.

Combien de temps pour vendre un bien immobilier ?

59 jours en moyenne pour un propriétaire français pour vendre son logement

Le délai moyen de vente d’un logement dans 50 grandes villes françaises a été compilé par les experts en évaluation immobilière de MeilleursAgents. Ces statistiques peuvent aider la population à comprendre à quoi s’attendre lors de la vente de sa maison et si la demande augmente ou diminue. Les données excluent la banlieue parisienne, que les agents ont examinée séparément.

MeilleursAgents s’est penché sur la longévité de milliers d’annonces immobilières sur le site SeLoger. Ils ont estimé le délai moyen de vente pour 50 communes françaises à environ 59 jours en septembre 2022 sur la base de ces données. Bien que ce nombre ait été très constant au cours des deux dernières années, il a révélé des différences importantes entre les différentes villes.

Le retour des acquéreurs étrangers suite à la crise sanitaire a récemment dynamisé le marché immobilier parisien. De nombreuses annonces immobilières ont été mises en ligne ces derniers mois, mais la demande est encore insuffisante pour profiter de l’offre. Conséquence, les délais de vente dans la ville se sont allongés : il faut désormais en moyenne 59 jours pour vendre un appartement à Paris. C’est juste un peu plus long que les 57 jours en 2019, les 47 jours en 2020 et les 57 jours en 2021.

En termes de population, Marseille occupe la deuxième place en France. Les retards dans la vente de biens immobiliers ont considérablement diminué dans toute la ville. En 2020, il fallait en moyenne 73 jours pour vendre un bien français. De nos jours, il ne faut en moyenne que 62 jours, soit environ une semaine en ville, pour vendre un objet.

Certaines villes sont plus belles que d’autres

Au cours des deux dernières années, des villes moyennes comme Antibes, Pau et Perpignan ont connu une augmentation du tourisme grâce en partie à des prix plus bas que dans les grandes villes. Cela s’est traduit par une diminution de la durée du processus de vente, qui a été ramené à 28 jours en moyenne à Perpignan, Pau et Antibes.

Au cours des deux dernières années, la demande immobilière a diminué à Nantes, Toulouse et Lyon, trois villes de France. Ces municipalités où les prix des marchandises sont élevés ont connu une baisse de la demande. En conséquence, la durée des périodes de soldes s’est considérablement allongée dans ces villes. C’est parce que les acheteurs ont du mal à trouver les marchandises. En conséquence, on s’attend à ce que les prix dans ces villes se stabilisent bientôt.

Quelles sont les différences entre les taux d’intérêt fixes et variables ?

Taux fixe et taux variable, quelles différences ?

Aujourd’hui, la grande majorité des prêts immobiliers accordés sont décrits comme ayant des taux d’intérêt fixes. Cela signifie que, qu’il s’agisse d’un crédit immobilier sur 10 ans ou sur 25 ans, le taux communiqué au moment de la signature du prêt restera le même pendant toute la durée de remboursement, quelles que soient les évolutions du marché pouvant entraîner une baisse des taux ou augmenter. offrant ainsi une certaine sécurité aux emprunteurs qui peuvent alors anticiper. De plus, le forfait permet de mieux évaluer les nombreux TAEG proposés au moment de la recherche de financement pour prendre la meilleure décision.

Les taux d’intérêt variables représentaient encore 20 % de la génération de crédit en 2005 et jusqu’à 6 % en 2010. Comme son nom l’indique, le taux d’intérêt variable ou révisable fluctue au cours du crédit. Cette évolution correspond à l’évolution de l’indice de référence choisi au moment de la signature du contrat de crédit, qu’elle soit à la hausse ou à la baisse. Le terme le plus souvent utilisé est Euribor. En plus de l’index, la fréquence des révisions est également choisie au moment de la souscription.

Variables : un avantage en cas de hausse des taux

Certains experts, dont des avocats, prétendent que les banques, notamment les caisses régionales, offrent maintenant des prêts immobiliers à taux d’intérêt fluctuant. D’autres y réfléchissent.
Il faut dire que les crédits à taux variable peuvent permettre à certains emprunteurs d’accéder à un financement grâce à un taux généralement inférieur au taux fixe, une période de taux élevé ou à la hausse. De plus, il vous permet de définir les limites fixées par le taux d’usure. N’oubliez pas que celui-ci est actuellement fixé à 2,50 % pour les hypothèques à taux fixe les plus populaires d’une durée de 20 ans ou plus. Etant donné que le calcul tient compte du taux d’intérêt nominal, de l’assurance emprunteur et des frais de dossier, le résultat est vite atteint. Par ailleurs, les taux fluctuent actuellement fortement : 1,58% sur les 20 ans en juillet contre 1,42% en juin, et 1,75% sur les 25 ans en juillet contre 1,57% en juillet. le mois précédent.

Un prêt hypothécaire à taux variable est actuellement négocié pour la première année à 1,20 ou 1,30% avec une variation potentielle pouvant aller jusqu’à 2,2%. Elle doit donc être vue comme une porte d’entrée pour un financement dans le cadre d’un projet d’investissement. Cependant, il est important de garder à l’esprit les risques liés à un tel crédit et de veiller à bien s’informer au moment de la souscription.