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Ces taxes foncières qui coûtent le plus cher aux propriétaires

En 2021, le logement a rapporté plus de 90 milliards d’euros à l’État et aux collectivités locales pour seulement 38 milliards. Record de vente positif !

Le sujet fiscal qui est désormais sur toutes les lèvres est celui des propriétaires immobiliers.

La promulgation de la taxe foncière fait grincer des dents. Bercy avait bien l’intention de la coiffer avant de finalement faire machine arrière, sous l’impulsion des collectivités. A la tête de l’Union nationale des propriétaires immobiliers (Unpi), il demande au gouvernement de revoir sa position. Les propriétaires ont une perception très négative de votre comportement. Il est impératif que vous découvriez un moyen d’empêcher une certaine (sur)explosion en 2023. Les investisseurs se réjouissent », a déclaré Christophe Demerson, président de l’Unpi, dans une lettre obtenue par Le Figaro. L’entourage de Bruno Le Maire rétorque, « Qu ‘ils aillent voir leurs élus locaux !’, en réponse aux propriétaires mécontents. Les collectivités choisissent elles-mêmes les taux d’imposition.

Par ailleurs, la taxe foncière, dont se sont acquittés 32 millions de cotisants, représente une sacrée aubaine pour l’Etat et les collectivités.

En fait, c’est la taxe foncière qui a le plus d’impact sur les budgets publics. En 2021, plus de 24 milliards d’euros ont été avancés grâce à lui, selon le dernier rapport sur la comptabilité du logement. Le prochain groupe à remplir les caisses de l’État à plus de 16 milliards d’euros sont les droits de mutation à titre illicite (DMTO) , parfois appelés, par erreur, « frais de notaire ». C’est 8 milliards de moins.

Prêtés mais certains, les droits de modification grignotent leur retard : En 2021, ils sont majorés de plus de 25% contre « seulement » +2% pour l’impôt sur le revenu du fait d’un nombre record de transactions (près de 1,2 million) et des prix constamment élevés. Avant 2022, le scénario restera le même. Cependant, probablement pas en 2023. Selon le rapport du Congressional Budget Office, l’impôt fédéral sur le revenu devrait continuer à augmenter de 6 à 7 %. En revanche, moins de ventes immobilières sont prévues en 2023. Et donc, des droits mutationnels également. De quoi inquiéter les collectivités locales et Bruno Le Maire, qui reste « très attentif » à la disponibilité du crédit, moteur régulier du marché immobilier. Avec 13,2 milliards d’euros de recettes, la TVA complète le top trois des taxes foncières les plus pénalisantes sur les budgets publics. Dans la rubrique, il est révélé que la taxe d’habitation, qu’Anne Hidalgo veut voir multipliée par « au moins 4 », n’a versé qu’un montant familial de 115 millions d’euros aux caisses publiques en 2021.

Le logement a généré plus de 90 milliards d’euros au total pour l’État et les collectivités locales

(après soustraction de la taxe d’habitation, qui est comptabilisée comme un impôt national sur le revenu et sera totalement supprimée en 2023). Christophe Demerson affirme qu’un nouveau dossier confirme le « matraquage fiscal » contre les propriétaires. De plus, il démontre à ses détracteurs que le loyer est plus qu’un simple coût. La preuve numérique est que lorsque les impôts augmentent, l’aide diminue de près de 38 milliards d’euros. C’est donc une vente positive massive de 52 milliards d’euros !

Doit-il résilier son crédit immobilier en période d’inflation ?

Résilier son crédit

Quand on a des liquidités, on peut essayer de vouloir se séparer de son crédit immobilier. Mais en période d’inflation, le conserver pourrait être plus avantageux.
Même dans un environnement économique difficile, des rendements monétaires importants sont toujours possibles à l’appui d’une prime, d’une vente immobilière ou d’un héritage. Dans une telle circonstance, la première réaction pourrait être de vouloir régler des dettes, le crédit immobilier venant en tête. Cependant, certains analystes interrogés par Les Échos affirment que ce n’est pas nécessairement la meilleure ligne de conduite en période de forte inflation. En théorie, un remboursement par anticipation est une bonne idée car cela fait baisser le coût global du crédit.
Surtout si l’emprunteur a réussi à négocier la suppression de l’indemnité de remboursement anticipée. Cela me permet d’épargner cette somme.

Crédit de protection immobilière

Cependant, de nombreuses lignes de crédit actives ont bénéficié des taux d’intérêt exceptionnellement bas de ces dernières années. On note qu’il ne faut jamais ignorer l’impact du resserrement du crédit dans des circonstances où les taux d’intérêt sont toujours compétitifs, même s’ils augmentent. De plus, il permet une expulsion « forcée » et la création d’un futur patrimoine immobilier. De plus, au fur et à mesure que le temps passe, de plus en plus de mensualité sont utilisées pour rembourser le capital plutôt que les intérêts solde dû.

L’évolution des prix de l’immobilier au cours des dix dernières années

Vous voulez savoir comment l’immobilier a changé au cours des dernières années. Quelles étaient les villes les plus fréquentées et celles avec les lignes de peloton les plus longues ? Nous discutons avec vous du marché immobilier depuis 2010.

L’évolution des prix en France au cours des dix dernières années

Selon l’Insee, le prix des logements a augmenté de 22 % en France au cours des dix dernières années. Cette augmentation touche tous les quartiers de la métropole et tous les types de logements (maisons et appartements, logements neufs et immobilier ancien).

Cette augmentation au cours des dix dernières années n’est pas linéaire. En effet, le marché immobilier a connu un repli après 2011 avant de renouer avec la croissance. Depuis, la croissance ne s’est pas arrêtée.

Le marché immobilier n’a jamais été aussi dynamique. L’année dernière, il y a eu plus d’un million d’achats, battant le précédent record du nombre de transactions. Malgré le fait que certaines villes et régions se démarquent, les prix augmentent généralement.

Les villes phares en progrès

(Nos chiffres sont tirés de la note de conjonction des notaires français.)

Paris
Le prix au pied carré des appartements dans la capitale française a augmenté de 56% au cours des dix dernières années. Le prix moyen parisien du mètre carré a même dépassé les 10 000 euros. Jamais vu avant!

Bordeaux
Les plus belles progressions de ces dix dernières années ont été menées par la capitale mondiale du vin. En effet, le prix des appartements a augmenté de 73,97 %, passant de 2 489 $ le mètre carré en 2010 à 4 330 $ en 2015.

Lyon
Le prix du mètre carré dans la capitale des Gaules augmente de 67,03 % en moyenne au bout de dix ans, passant de 2 752 euros à 4 600 euros.

Rennes
Pour trouver la quatrième ville la plus dynamique, il faut se rendre en Bretagne. Rennes connaît en effet une augmentation de 48,38% entre 2010 et 2020.

Nantes
La ville des Ducs de Bretagne, Nantes, n’est pas trop loin de Rennes. Avec une hausse de 44,90%, elle prend la cinquième place.

Strasbourg
Le prix du strasbourgeois a sensiblement augmenté de 40 % passant de 2 100 euros le mètre carré en 2010 à 2 940 euros aujourd’hui.

Les villes les moins dynamiques

La même implication des prix n’a pas été constatée sur l’ensemble du territoire français. Certaines villes ont même connu un recul par rapport à 2010.

Saint Etienne est dans la file d’attente du classement après avoir connu une baisse de prix de près de 25 %. Toulon suit la liste avec une baisse d’environ 6% entre 2010 et 2015. Les prix de ces deux villes sont les mêmes depuis cinq ans.

D’autres villes sont au même stade qu’en 2010. Dijon, Grenoble, Metz, Orléans en sont des exemples.

Enfin, Limoges et Caen ont connu une sévère récession en 2015 mais ont su inverser la tendance au cours des cinq dernières années. Cela leur permet de sortir de la crise avec une modeste augmentation comprise entre 2% et 5%.

La fluctuation des prix sur le marché local

Concernant le marché local, la rentabilité a fortement baissé. En fait, le coût du mètre carré a augmenté bien plus vite que les salaires. A Bordeaux, par exemple, les prix de l’immobilier ont augmenté de 70% alors que les salaires mensuels n’ont augmenté que de 6%.

Les trois plus grandes villes françaises, Montpellier, Lyon et Marseille, sont classées premières, avec des taux de croissance des salaires de 6,72 %, 6,31 % et 5,13 %, respectivement.

En conséquence, le marché immobilier s’est globalement développé au cours des dix dernières années, même si de nombreuses inégalités sont encore à noter dans le monde francophone.

Où investir en France ?

D’une manière générale, investir dans l’immobilier local est avantageux. Cependant, il y a des risques encourus : des vacances locales, un loyer impayé et un problème avec le retour. Comment puis-je augmenter ma rentabilité locative ? La ville dois-je choisir ?

Paris

Même si les prix du marché ont moins augmenté ces derniers temps qu’ailleurs en France, investir à Paris reste une valeur sûre.

En effet, la demande de services de proximité est forte et le taux de rentabilité local moyen est de 5,2 %. Le risque de ne pas être payé est d’environ 1,3 %, ce qui est comparable à la moyenne française.

Considérez la banlieue française, est notre conseil. Avec ses 200 kilomètres de réseau et ses 68 nouvelles gares, le projet du Grand Paris permettra aux villes moyennes de se désenclaver.

Bordeaux

Bordeaux est l’une des villes françaises avec les plus beaux incendies immobiliers. Par conséquent, investir à Bordeaux nécessite un minimum d’argent. Cependant, des salaires plus élevés permettent une meilleure rentabilité locale, de 6,6 % en moyenne.

Il y a une forte demande de logements là-bas, ce qui réduit la probabilité de vacances mal placées.

Notre recommandation est de penser à investir dans les quartiers étudiants ou dans de nouveaux programmes qui offrent des avantages pour l’évolutivité.

Grenoble

Grenoble est une ville très attractive pour l’investissement immobilier en raison de ses prix abordables, de sa population étudiante dynamique et de son économie robuste. Puisqu’il dépasse les 7,2%, son taux de rentabilité est bon.

Cependant, le risque de vacances locales est supérieur au risque national moyen.

Notre recommandation est de faire des investissements dans des propriétés meublées à proximité des institutions académiques.

Lille Lille est une ville étudiante dynamique au cœur de l’Europe. Le besoin d’hébergement y est assez grand.

Cependant, la hausse des coûts d’achat au cours des dernières années a réduit la rentabilité brute.

Notre recommandation est de vérifier les quartiers proches des gares Lille Europe et Lille Flandres, qui sont proches du centre-ville et offrent une variété d’options de transport.

Lyon

La ville de Lyon a beaucoup d’atouts, notamment une importante population étudiante, la proximité de Paris, de l’Italie et de la Suisse, et un environnement économique florissant.

Lyon est un havre immobilier précieux malgré un taux de rentabilité local modeste (3,3%).

Notre conseil est de vous renseigner sur les prix de l’immobilier dans les environs, notamment à Villeurbanne.

Marseille

Le marché marseillais a des prix très raisonnables, permettant une bonne rentabilité d’environ 6,6%. Le risque de ne pas être payé est un peu plus élevé que la moyenne nationale.

Notre conseil est d’étudier chaque quartier marseillais comme un marché distinct.

Montpellier

Montpellier s’annonce comme l’un des meilleurs investissements locaux. En effet, le prix d’achat moyen au mètre carré est inférieur à 3 000 €. De nombreuses entreprises en démarrage et des étudiants sont attirés par la ville. Il y a 18 parcs d’activités, y compris de grandes entreprises comme IBM et Sanofi.

Après la crise sanitaire, Nantes est devenue l’une des villes les plus désirables. De ce fait, les prix ont sensiblement augmenté, mais la rentabilité est toujours favorable (environ 6%).

Notre recommandation est de rechercher le bâtiment du futur CHU sur l’île de Nantes, qui peut présenter de belles opportunités de relocalisation.

Rennes

Les prix du marché de Rennes ont considérablement augmenté, mais la ville présente toujours d’excellentes opportunités d’investissement en raison de son taux de vacance local extrêmement bas.

Étudier les quartiers étudiants comme Beaulieu et Villejean-Beauregard, c’est notre conseil.

Combien de temps pour vendre un bien immobilier ?

59 jours en moyenne pour un propriétaire français pour vendre son logement

Le délai moyen de vente d’un logement dans 50 grandes villes françaises a été compilé par les experts en évaluation immobilière de MeilleursAgents. Ces statistiques peuvent aider la population à comprendre à quoi s’attendre lors de la vente de sa maison et si la demande augmente ou diminue. Les données excluent la banlieue parisienne, que les agents ont examinée séparément.

MeilleursAgents s’est penché sur la longévité de milliers d’annonces immobilières sur le site SeLoger. Ils ont estimé le délai moyen de vente pour 50 communes françaises à environ 59 jours en septembre 2022 sur la base de ces données. Bien que ce nombre ait été très constant au cours des deux dernières années, il a révélé des différences importantes entre les différentes villes.

Le retour des acquéreurs étrangers suite à la crise sanitaire a récemment dynamisé le marché immobilier parisien. De nombreuses annonces immobilières ont été mises en ligne ces derniers mois, mais la demande est encore insuffisante pour profiter de l’offre. Conséquence, les délais de vente dans la ville se sont allongés : il faut désormais en moyenne 59 jours pour vendre un appartement à Paris. C’est juste un peu plus long que les 57 jours en 2019, les 47 jours en 2020 et les 57 jours en 2021.

En termes de population, Marseille occupe la deuxième place en France. Les retards dans la vente de biens immobiliers ont considérablement diminué dans toute la ville. En 2020, il fallait en moyenne 73 jours pour vendre un bien français. De nos jours, il ne faut en moyenne que 62 jours, soit environ une semaine en ville, pour vendre un objet.

Certaines villes sont plus belles que d’autres

Au cours des deux dernières années, des villes moyennes comme Antibes, Pau et Perpignan ont connu une augmentation du tourisme grâce en partie à des prix plus bas que dans les grandes villes. Cela s’est traduit par une diminution de la durée du processus de vente, qui a été ramené à 28 jours en moyenne à Perpignan, Pau et Antibes.

Au cours des deux dernières années, la demande immobilière a diminué à Nantes, Toulouse et Lyon, trois villes de France. Ces municipalités où les prix des marchandises sont élevés ont connu une baisse de la demande. En conséquence, la durée des périodes de soldes s’est considérablement allongée dans ces villes. C’est parce que les acheteurs ont du mal à trouver les marchandises. En conséquence, on s’attend à ce que les prix dans ces villes se stabilisent bientôt.

Le parking, un emplacement pratique et locatif

Le parking a une rentabilité de localisation intrigante. En effet, il ne nécessite pas un investissement initial important, les coûts d’entretien immobilier sont faibles, et le risque d’impayés de loyer est quasi inexistant. De plus, les places de stationnement deviennent une ressource précieuse et rare qui peut être louée dans les centres-villes.

Les frais de copropriété du stationnement sont strictement limités à ce qui est nécessaire. Par rapport à un investissement immobilier comme une maison ou un appartement, la gestion locale est également minime.

Le coût du stationnement à Paris peut aller de 30 000 à 45 000. Ils sont beaucoup moins chers à Lyon ou à Marseille ; le prix moyen se situe entre 15 000 et 25 000 euros. Les salaires locaux dans ces trois grandes villes pourraient varier de 5% à 6%.

Comment acheter un parking ?

Un bon emplacement

Privilégiez les zones où le stationnement est difficile et où votre stationnement sera le plus précieux, comme les centres-villes des grandes villes. Préférez les premiers niveaux de sous-sol dans un parking en dessous accessible par ascenseur. Vérifiez également l’éclairage, la propreté et la taille de votre espace. Attention à ne pas surpayer le stationnement et vérifiez l’accessibilité de l’emplacement avant d’effectuer un achat.

Achat pour une personne en particulier

Evitez, si possible, de passer par une agence immobilière qui augmentera votre facture du fait de ses honoraires. Vous pourrez peut-être voir des publicités personnelles sur un certain nombre de sites Web. Considérez aussi les bordures (chambre des notaires, par exemple).
Prioriser une box

Une place de parking peut se trouver à l’intérieur ou à l’extérieur, au sol ou dans un box fermé ou un garage, entre autres configurations. Le coût de la box est plus qu’un simple emplacement de stationnement (20% à 30% plus cher), mais vous pouvez exiger un loyer plus élevé en échange. Elle a l’avantage d’être plus sécurisée et de permettre d’y faire des affaires.

Combien coûte le stationnement ?

Vous devez payer des frais supplémentaires en plus du prix d’achat du stationnement.

Prenons le cas d’une place de parking qui coûte 30 000 $ à Paris. A ce coût d’achat, il faut ajouter :

  • Les honoraires du notaire sont de 1 368 euros.
  • Les droits d’enregistrement valent 1742 euros.
  • Les frais de publication sont de 30 €.
  • TVA : 274 euros.

Pour ce faire, vous devez comparer le coût total des charges plus le salaire de l’employé au coût d’achat de l’actif.

Les frais suivants doivent être pris en compte :

  • Les charges de copropriété
  • La prime d’assurance
  • La taxe foncière
  • frais de gestion.

Par exemple, si vous avez payé 20 000 euros pour une place de parking et que vous la louez 125 euros par mois, votre bénéfice annuel sera de 1 500 euros. Pour obtenir ce rendement, les dépenses doivent être éliminées, généralement 300 $. Pour cet achat, le rendement net sera de 6 %.

 

Sachez que le bénéfice net est recalculé chaque année. Étant donné que plusieurs facteurs peuvent changer et affecter le rendement de votre investissement immobilier, tels que la hausse des salaires, le roulement important des employés locaux, la hausse des taxes foncières, etc.

Les effets d’une baisse des prix de l’immobilier

Il y a eu 1,13 million de transactions immobilières entre 2020 et 2021. Depuis 20 ans, c’est un record ! Un embargo immobilier en place depuis un moment a été accentué par la crise sanitaire.

Cependant, fin 2021, les plateformes immobilières ont commencé à remarquer une forte baisse de la demande de biens immobiliers par rapport aux années précédentes. Cette constatation pourrait signaler le début d’un ralentissement du marché qui fait baisser les prix de l’immobilier. Quels seraient les effets si les prix de l’immobilier baissaient ?

Tendances à surveiller sur le marché immobilier

Depuis vingt ans, il y a eu une augmentation des prix.
Les prix des actifs immobiliers n’ont jamais atteint de tels sommets. Le coût au mètre carré a dépassé les 10 000 euros à Paris. Il y a des moments où il faut dépenser plus de 4 000 euros le pied carré à Toulouse, Lyon ou Bordeaux.

Le prix des appartements a augmenté. Dans certaines zones, le nombre de maisons a augmenté jusqu’à 10 %. (Ile de France, Toulon, Poitiers, Brest, Troyes). L’exode urbain, qui s’est intensifié depuis la crise sanitaire, a fait grimper le prix des logements hors des grandes villes.

Ainsi, depuis 2000, une augmentation de 90% est à prévoir.
transformation des actifs immobiliers les plus recherchés
Le visage de la demande d’incapacité a changé du fait des confinements. Les Français rêvent d’avoir une maison, un jardin et de l’espace. Ces désirs provoquent un changement dans les marchés immobiliers :

une préférence pour les villes moyennes

Les deux choses que les Français recherchent le plus sont de plus grandes quantités et un meilleur cadre de vie. Ils quittent progressivement les grandes villes pour s’installer dans la banlieue voisine de villes plus petites et plus accessibles financièrement. Les prix des maisons dans la périphérie des grandes villes ont chuté à la suite de cet exode.

Le neuf nous berne.

Le marché du logement neuf a connu des baisses importantes en raison de la diminution des permis de construction, des programmes annulés et de la baisse de la demande de logements coopératifs. Cependant, le coût du neuf continue d’augmenter.

Dans certaines zones (sud de la Grande-Bretagne et région parisienne), cette baisse se traduit par une pénurie de logements.

Au contraire, le secteur d’autrefois a pleinement profité de l’évolution des prix de l’immobilier.

Une demande croissante de logements

La demande est généralement équilibrée entre maisons et appartements. Mais du fait de la crise sanitaire, les Français recherchent désormais beaucoup plus de logements de grande surface.
conditions de financement hypothécaire avantageuses
Les Français continuent d’accorder une grande valeur à la pierre, surtout en période d’incertitude économique. Cela dit, le marché immobilier bénéficie d’une forte croissance économique et de l’élargissement des mécanismes d’incitation à l’investissement.

Les taux d’intérêt bas soutiennent la ferveur du marché immobilier et la hausse des prix. Les banques semblent être plus strictes en matière de conditions de crédit. Ils acceptent les ménages qui pourraient être en mesure de faire face à un rendement potentiel du marché.

  • Le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) a émis des recommandations pour aider les prêteurs à remplir les conditions d’éligibilité aux prêts :
  • Le taux de résiliation autorisé est de 33 % à 35 %.
  • La durée du prêt est prolongée, allant de 25 à 27 ans.

Conséquences d’une baisse des prix de l’immobilier

  • Accès facile des ménages à la propriété
    Une baisse des prix de l’immobilier ne serait pas nécessairement une mauvaise nouvelle. En effet, des ménages aux revenus limités pourraient ainsi accéder à la propriété. De plus, les économies réalisées dans le secteur immobilier seront utilisées dans d’autres domaines.

  • Un ajustement du volume des ventes
    Lorsque les prix de l’immobilier montent trop haut, les acheteurs ne peuvent plus suivre et les ventes ralentissent. Un équilibre serait rétabli et le montant des transactions reprendrait avec une baisse des prix mais pas une baisse.

  • Possibles effets négatifs sur l’économie française
    Une baisse des prix du marché immobilier pourrait avoir une influence sur la croissance française. En fait, il peut être difficile d’interpréter les tendances économiques actuelles. Cependant, les prix du marché immobilier sont facilement compréhensibles. Un retournement du marché pourrait rendre les consommateurs moins optimistes et, par effet de cascade, réduire le dynamisme de leurs dépenses.

Comment déterminer la rentabilité nette d’un investissement immobilier  ?

Vous souhaitez investir dans l’immobilier. Vous vous demandez comment obtenir le meilleur positionnement immobilier. Nous expliquerons les nombreuses sortes de rentabilité et comment les calculer.

Qu’est-ce que la rentabilité localisée, exactement ?

Le total de tous vos revenus par rapport au coût d’achat d’une propriété est sa rentabilité locative.

La formule de calcul de cette rentabilité est la suivante : ((salaire mensuel x 12) / coût d’achat) x 100.

Vous obtenez ainsi ce qu’on appelle la rentabilité brute. Elle a l’avantage de donner une idée rapide de ce qui peut résulter d’un investissement local.

Cependant, ce calcul est évidemment incomplet car il ne tient pas compte des éventuels frais annexes encourus lorsque l’on devient propriétaire effectif.
La viabilité géographique est négligeable

Le calcul de la rentabilité nette locative consiste à soustraire les coûts liés à l’investissement immobilier du rendement brut global.

Par conséquent, les dépenses suivantes doivent être déduites du salaire brut :

  • Les prélèvements locaux ne sont pas récupérables. C’est-à-dire la partie du loyer dont le propriétaire n’est pas responsable : les améliorations apportées à l’immeuble qui augmentent la valeur de la propriété.
  • Les dépenses de gros travaux comprennent la destruction extérieure, la rénovation intérieure, etc.
  • Les tâches effectuées sur l’élément lui-même qui sont indépendantes de l’entretien de routine, telles que le remplacement du radiateur, du four ou de la chaudière.
  • La taxe foncière
  • Les frais de gestion spécifiques au lieu (frais d’agence)
  • Les assurances (salaires impayés, logement vacant)
  • Les intérêts de votre crédit immobilier si vous avez emprunté les frais de notaire lors de votre achat.

Ainsi, la rentabilité de votre bien après paiement des charges s’appelle la rentabilité locative nette, également appelée rentabilité locative nette de charges. Il doit être calculé annuellement pour refléter avec précision la rentabilité de votre investissement.

Avantages fiscaux

N’oubliez pas d’inclure les avantages financiers liés à votre investissement pour une rentabilité locale négligeable.

Les avantages financiers suivants peuvent être ajoutés :

  • Pinel Loi
  • Meublée Non Professionnelle du Droit Censi Bouvard
  • Meublée Non Professionnelle Classic Location

Comment savoir si la rentabilité locale est bonne ?

La rentabilité locale d’un bien varie de 2% à 7%. Elle est d’autant meilleure qu’elle se rapproche des 7 %.
Cependant, vous devez également tenir compte d’autres facteurs lors de votre investissement, tels que le potentiel de vacances locales et les salaires impayés. Ces deux composantes varient selon les villes et les actifs. Ainsi, dans les plus grandes agglomérations françaises, la rentabilité locale peut être plus faible alors que les taux de vacance locaux sont quasiment inexistants. Il est important de considérer la possibilité de ne pas louer votre bien pendant plusieurs mois.
Par ailleurs, la rentabilité locale peut évoluer d’une année sur l’autre en fonction des aménagements prévus de la copropriété, des frais de gestion locaux, de l’évolution de la fiscalité, etc. Un investissement local est un placement immobilier à envisager sur le long terme. Par conséquent, un investissement qui a initialement un faible taux de rendement peut s’avérer assez rentable au fil du temps.

 

Enfin, vous devriez envisager de vendre vos biens. Si vous souhaitez pouvoir récupérer facilement votre argent pour l’utiliser sur un autre projet, investissez dans un domaine où cela est réalisable.

Le PER, le meilleur placement.

Le PER est une véritable révolution qui s’apprête à bouleverser complètement le système français de répartition des richesses !

Le PER se transforme en une solution applicable à tous les problèmes hérités qui peuvent cantonner une variété de stratégies alternatives comme l’assurance-vie et même l’investissement PINEL de type PINEL en raison de son puissant potentiel de déflation et de son potentiel à devenir un formidable outil de capitalisation.

Fiscalisation :

Les sommes provisionnées dans le PER sont déduites du revenu imposable du cotisant et sont donc éligibles à une réduction de l’impôt sur le revenu dû dont l’importance dépend du prélèvement marginal de l’épargnant contributif. Sans être soumis aux contraintes des niches fiscales, le PER devient un concurrent sérieux de toutes les autres stratégies de réduction des déficits, notamment l’investissement immobilier de type PINEL.

Capitalisation et valorisation des actifs monétaires :

Le retraité qui saura choisir le bon PER disposera d’une quotité défiscalisée qu’il pourra utiliser pour investir dans des actifs financiers à fort potentiel de valorisation à long terme tels que Action, SCPI, FCP placement, ETF et trackers. Mais attention, comme nous l’avons expliqué dans l’article « Comment choisir un PER ? » Un bon PER est avant tout un PER dont les coûts de gestion sont raisonnables (-+0,60% maximum) et surtout qui permet une gestion libre par ETF ou action directe afin de mettre en place une véritable gestion passive de long terme ; Le PER offre tous les avantages de capitalisation de l’assurance-vie, et un investisseur potentiel qui n’arrive pas à trancher entre l’assurance-vie et le PER peut être persuadé de le choisir afin d’atteindre une indépendance financière à très long terme.

Succession :

Il apparaît que, hors décès du souscripteur d’assurance PER avant l’âge de 70 ans, qui n’est pas l’hypothèse statistique première, le PER n’est pas un véhicule fiscalement avantageux permettant de réduire les droits successoraux. Le PER apparaît comme une excellente stratégie de transmission de patrimoine à un conjoint ou à des enfants car il combine un déficit des fonds dépensés avec un transfert aux bénéficiaires qui permet de purger les taxes latentes sur le capital et le patrimoine. Cette stratégie est encore plus efficace d’un point de vue fiscal que l’assurance-vie.

Enfin, le PER pourrait bien recevoir des investissements importants dans les années à venir, bouleversant l’équilibre de l’investissement et de la répartition des investissements en France.

Les effets de ce changement important dans l’organisation du système d’échange en France ne doivent pas être sous-estimés. En effet, ce nouveau PER est transférable gratuitement après cinq ans de détention, contrairement à l’assurance-vie.

Avec le PER, les créanciers ne sont plus captifs de l’infériorité fiscale et peuvent toujours transférer leur dette vers un PER plus innovant ou plus compétitif.

Une nouvelle ère est sur le point de commencer au PER !

Comment gérer son patrimoine et héritage immobilier ?

Les fondations du patrimoine se construisent entre 30 et 45 ans.

On construit les fondations entre 30 et 45 ans. On décide d’investir dans l’immobilier ; on démarre une entreprise; on prend des risques. La première composante de ce cycle correspond à l’initiation de l’individu à la vie. En règle générale, pendant cette période de la vie d’une personne, des partenariats se forment, des familles grandissent ou se recomposent (voir « Comment protéger votre partenaire ? »).

Quelles stratégies fonctionneront à 30, 40 ou 60 ans ?

Entre 30 et 45 ans, le travail de construction du patrimoine se concentre sur la construction du foyer et fréquemment l’achat d’une résidence principale. L’investissement immobilier et l’achat de la résidence principale sont fréquemment les investissements qui se démarquent dans cette première étape du cycle patrimonial. La résidence principale reste une exigence pour tous ceux qui sont capables de se projeter dans leur vie à moyen terme, bien qu’elle soit perçue comme « has-been » par tous les jeunes qui prétendent préférer la gaieté de la propriété.

Entre 45 et 65 ans, les rendements de vos premiers investissements servent à accélérer la valorisation de votre héritage.

Le prêt hypothécaire de la résidence principale est remboursé entre 45 et 65 ans. Même si vous avez déménagé une ou deux fois, vous en êtes désormais le propriétaire légal. Vos enfants grandissent, vous n’avez plus de loyer à payer et votre carrière professionnelle progresse, vous atteindrez donc bientôt le pic de vos revenus professionnels.

Cependant, à mesure que vos enfants grandissent et commencent leurs longues études, vous êtes heureux d’avoir fini de rembourser le crédit de votre résidence principale utilisé pour soutenir leurs études.

En conclusion, vous disposez d’un fort pouvoir d’achat et d’un dynamisme qui vous permettent de vous investir sérieusement dans la préservation de votre patrimoine.

Traditionnellement, vous réalisez votre premier investissement immobilier local et peut-être même un deuxième ou un troisième, tout en ayant les moyens financiers d’économiser et d’investir en actions via votre PEA ou les régimes d’avantages sociaux proposés par votre employeur.

On organise la transmission de son héritage entre 60 et 70 ans.

Vous avez réussi dans la vie. Beau patrimoine, beaux revenus, beaux enfants, bref, belle vie Votre sécurité financière est garantie. Vous n’êtes pas inquiet pour votre avenir. Vous avez terminé la tâche. Bravo!

Libre à vous d’envisager de transmettre à vos enfants grâce à cette sérénité. Ils sont en âge d’investir et ont de nombreuses idées sur la façon d’utiliser cet héritage. C’est le bon moment pour donner à leurs enfants une partie de votre succession dont vous n’avez plus besoin pour vous-même (voir « Succession : quand faire un don à vos enfants ? »). Quelles circonstances pourraient empêcher de le regretter ?

Le moment est venu d’aider vos enfants à créer leur héritage familial. Ce sont vos héritiers, vous devez donc leur apprendre à gérer et à investir pour qu’ils puissent continuer à faire votre travail.